TAGADA JONES - Dissident (Clip)
TAGADA JONES vient de dévoiler son nouveau clip réalisé pour le morceau-titre de son dernier album, Dissident paru en débût d'année.
TAGADA JONES vient de dévoiler son nouveau clip réalisé pour le morceau-titre de son dernier album, Dissident paru en débût d'année.
ALPHA TIGER (Heavy Metal) a dévoilé les détails concernant son prochain album, iDENTITY, à paraitre le 19 Janvier 2015 via SPV/Steamhammer. Il sera disponible en version CD, CD + DVD Digipak et vinyl LP.
Tracklist iDENTITY (2015) :
CD : 01. Intro / 02. Lady Liberty / 03. Scripted Reality / 04. Long Way Of Redemption / 05. Identity / 06. We Won`t Take It Anymore / 07. Revolution In Progress / 08. Closer Than Yesterday / 09. Shut Up & Think / 10. This World Will Burn
DVD - Live At Bang Your Head 2013 :
01. The Alliance / 02. From Outer Space / 03. Against The Time / 04. Beneath The Surface / 05. Waiting For A Sign / 06. Along The Rising Sun / 07. Karma / 08. Black Star Pariah
DARKENHÖLD – A Passage To The Towers...
Ancestral Productions
Style : Atmospheric Black Metal
Origine : France
Sortie : 2010
Site Web : www.facebook.com/darkenhold
01. A Passage... (Overture) / 02. Ghouls And The Tower / 03. Marble Bestiary / 04. Citadel Of Obsidian Slumber / 05. Chains Of The Wyvern Shelter / 06. In The Crystal Cavern (Interlude) / 07. Cleaving The Ethereal Waves / 08. Crimson Legions / 09. Darkenhöld / 10. Sorcery
Né des cendres d’ETHERYÄL, DARKENHÖLD est un quatuor au sein duquel on retrouve Aldébaran, qui fût un temps guitariste d’ARTEFACT. En 2010, sort le premier album du groupe qui, depuis 2008, a déjà proposé 2 splits avec FHOI MYORE et NAADSTRAND dont on retrouve les 4 titres originaux dans des versions toutefois différentes. Sur ces 2 splits figuraient 4 covers très révélatrices du style pratiqué par les Niçois et notamment celles de WALLACHIA et MEPHISTOPHELES car sur ces 10 titres c’est clairement ce Black Metal à tendance atmosphérique du milieu des années 90 que DARKENHÖLD nous propose. Enregistré au Cox In Hell Studio puis au Drudenhaus Studio pour quelques retouches, A Passage To The Towers... bénéficie d’une production caractéristique du style et les amateurs n’auront aucun mal à rentrer dans cet album qui navigue entre parties atmosphériques ("A Passage… (Overture)", "In The Crystal Cavern (Interlude)") parfois appuyées par des chœurs ("Ghouls And The Tower") et Black plus rentre dedans mais non dénué de mélodie comme ce "Chains Of The Wyvern Shelter" efficace. Le groupe va droit au but et ne se perd pas dans des titres inutilement longs, les plages atmosphériques ne sont pas non plus étirées jusqu’à l’écœurement, DARKENHÖLD s’inscrit plus dans la magnificence du Black que dans la haine brutale, les nostalgiques apprécieront alors que le style paraissait il y a encore peu comme passé et totalement mort, la vision du Black Metal d’Aldébaran et de Cervantes (chant) donne pourtant ce que WALLACHIA a proposé il y a 15 ans et c’est avec un certain plaisir que l’on voit ce style renaitre en France alors qu’ANOREXIA NERVOSA a laissé la place depuis longtemps. Dans un style qu’Ancestral Productions affectionne tout particulièrement à la vue des sorties proposées par le label, la qualité étant en plus de mise, DARKENHÖLD nous propose un premier album nostalgique certes, mais loin, très loin, d’être dépassé, avec une musicalité bien mise en valeur et ce côté Old-School poussé jusque dans l’artwork signé Metalex.
Note : 7/10
Chronique : Aymerick Painless
PENDRAGON - Passion
Madfish Music
Genre : Progressive Rock
Pays : Royaume-Uni
Sortie : Avril 2011
Site Web : www.pendragon.mu
01. Passion / 02. Empathy / 03. Feeding Frenzy / 04. This Green And Pleasant Land / 05. It's Just A Matter Of Not Getting Caught / 06. Skara Brae / 07. Your Black Heart
Après le sulfureux Pure, PENDRAGON enchaine avec Passion, son nouvel opus ! Que dire si ce n'est que la combinaison des titres (dans les deux sens) s'avére indiscutable. Pure m'avait mis à genoux et Passion m'apporte le coup de grace ! Nick Barrett a trouvé l'arme absolue avec cet album, un Prog/Rock "médaille d'or" de l'année 2011, nul doute, à moins qu'un ovni du style nous tombe du ciel, mais j'en doute ! Pour les amateurs du genre et de PENDRAGON en particulier, vous aurez affaire à un somptueux mélange mélodique recherché, raffiné, envoutant et enivrant. L'ami Nick a affuté ses cordes vocales et par moment on retrouve un peu de Ray Wilson dans son intonation. Cordes de guitares également affutées au micron prés, Peter Gee utilise sa basse avec l'admirable efficacité qu'on lui connait, Clive Nolan est aux claviers avec une délicatesse et un rendu d'ambiances extraordinaire, derrière les drums, un Scott Highman performant comme un athlète de haut niveau, voilà une équipe de choc qui donne vie aux compos de Barrett. 7 titres au compteur, et une entame de disque qui vous fait comprendre la teneur de la galette : richesse et subtilité, c'est d'ailleurs ce que renferme l'intégralité de Passion avec des passages plus fins, plus délicats. "This Green And Pleasant Land", un titre empreint d'émotions fortes, le final et ses claviers magnifiques vaut à lui seul son pesant d'or. Le sens rythmique n'est pas en reste car ça percute avec maitrise, "Feeding Frenzy" ou "It's Just A Matter Of Not Getting Caught" qui est plus dans un univers électrique et mélancholique, "Skara Brae" est une "pure" merveille, interprétée avec "passion", mon titre préféré, bourré de sensibilité, d'un punch qui oscille avec une plongée dans un univers musical vertigineux, une claque monumentale, on est tout autant dans un Prog classique que moderne, (l'empreinte de GENESIS et Tony Banks n'est pas loin du tout), c'est tout simplement ahurissant, j'en frémis encore ! Vous aurez tout au long de votre écoute le loisir d'apprécier le jeu des protagonistes qui est divinement distillé, quel que soit l'orientation musicale du titre. Le dernier titre, "Your Black Heart", aux accents Floydien est d'une sensualité impeccable. A noter que ce merveilleux album sort avec un DVD bonus assez symphatique qui nous révèle d'une part la conception de Passion et d'autre part des petites infos perso sur Nick Barrett, le tout est entrecoupé de scènes live, un documentaire plaisant et trés intéressant pour les fans. Je termine cette chro en m'inclinant humblement devant le génie et le talent de l'ami Barrett qui nous prouve encore une fois que quand un opus est aussi divin, ça devient alors un hymme au bonheur.
Note : 9.5/10
Chronique : Nigel Stargazer
DARKENHÖLD – Castellum
Those Opposed Records
Style : Black Metal
Origine : France
Sortie : 2014
Site Weeb : www.darkenhold.bandcamp.com
01. Strongholds Eternal Rivalry / 02. Le Castellas Du Moine Brigand / 03. Majestic Dusk Over The Sentinels / 04. Glorious Horns / 05. Feodus Obitus / 06. Le Souffle Des Vieilles Pierres / 07. L’incandescence Souterraine / 08. Mountains Wayfaring Call / 09. The Bulwarks Warlords / 10. Medium Aevum
Le deuxième album des Niçois s’était révélé être une réussite de Black Metal à tendance atmosphérique, Castellum, le troisième opus poursuit fort logiquement sur la lancée. En effet, DARKENHÖLD enflamme toujours ses galettes avec ses relents d’EMPEROR mais garde sa patte Black à la française qui a sévit au milieu des années 90 avec ARTEFACT notamment mais aussi une touche de MISANTHROPE pour le traitement, la texture et l’ambiance vocale dégagée par Cervantes dont le chant en français ne dénote pas du tout, bien au contraire puisqu’il apporte un supplément d’âme. LIMBONIC ART, ENSLAVED, EMPEROR, GODKILLER, toute cette vague sert ici de base sur laquelle DARKENHÖLD vient greffer une personnalité bien aidée par une production claire, précise mais gardant cette froideur Black Metal dont les claviers ne sont pas étrangers non plus. De plus, le groupe dégage aussi de temps en temps une ambiance plus Heavy occulte comme sur "L’incandescence Souterraine", se ménage des pistes où le Black se fait plus lancinant à l’image de "The Bulwarks Warlords" pour un album aux titres et aux ambiances assez variées. On pourra regretter que le son de clavier, clairement assumé, fasse aussi daté, mettant de côté ceux qui auraient pu être séduit par ce troisième opus mais qui pourraient passer à côté de ce fait, sans parler du fait que cela ramène immanquablement vers les 90’s ce qui pourrait faire passer DARKENHÖLD pour un groupe de suiveurs, ce qu’ils ne sont assurément pas. En effet, tout sur cet album transpire l’authenticité et le savoir faire en matière de Black Metal, la production ne grossit pas démesurément la batterie et le tout sonne réellement naturel. Les français se concentrant sur des titres assez courts de 4 minutes environ, nous n’avons pas droit non plus à d’inutiles longueurs sur les morceaux, Castellum réussit à nous faire voyager dans l’univers de DARKENHÖLD et marque une progression nette avec son aîné qui lui également montrait une évolution sans équivoque avec le premier album, voilà un groupe qui façonne sa musique au fur et à mesure des sorties en s’éloignant peut-être un peu du Black Metal de ses débuts, encore que ceci soit surtout du à la production car les éléments parfois un peu Death du groupe étaient déjà présents aux débuts des Niçois. Une confirmation qui manque encore un peu de folie !
Chronique : Aymerick Painless
PENDRAGON - Men Who Climb Mountains
Autoproduction
Style : Progressive Rock
Origine : Royaume-Uni
Sortie : 2014
Site Web : www.pendragon.mu
01. Belle Ame / 02. Beautiful Soul / 03. Come Home Jack / 04. In Bardo / 05. Faces Of Light / 06. Faces Of Darkness / 07. For When The Zombies Come / 08. Explorers Of The Infinite / 09. Netherworld
Découvrant pour la première fois réellement un album de PENTRAGON bien qu'ayant souvent entendu ou lu son nom, je dois préciser que c'est donc ici une chronique de non-initié. Et le moins qu'on puisse pour quelqu'un qui ne connait pas ce groupe est qu'il faut de la patience pour en saisir toutes les finesses. En effet, après de multiples écoutes, dont les premières qui laissent vraiment froid... tout s'éclaire à force de persévérance. Je ne sais pas si tous leurs albums sont aussi difficiles d'accès mais on peut dire que Men Who Climb Mountains, en rapport à son titre, est une longue ascension auditive pour arriver au sommet de la satisfaction musicale. Néanmoins, je trouve réellement que tout devient plus intéressant à partir de "In Bardo" et son joli final de claviers et de guitares. Oui, car même si "Belle âme" enchaîné à "Beautiful Soul" s'écoutent poliment, on ne retrouve pas la sensation mélodique des suivants. C'est même un peu longuet par endroit, sans être encore une fois totalement désagréable... mais bon, en dessous du reste. "Come Home Jack" parvenant, avec ses notes longues de guitare, à vous accrocher sans pour autant atteindre la perfection, faute à un refrain un poil lassant. Passons "In Bardo" cité plus haut et arrivons à "Faces Of Light", véritable bijou mélodique dont l'intro au piano additionné à la voix de Nick Barrett file le parfait frisson que l'on attend d'un groupe de ce genre. Les envolées de guitares sont également magiques, évoquant avec délice la première ère de MARILLION. La suite du morceau évolue ensuite dans un ton plus énergique en gardant cette belle inspiration. Assurément un des meilleurs moments de l'album. "Faces Of Darkness" poursuit dans ce registre magnifiquement ambiancé et on regrette vraiment que le début ne soit pas aussi nécessairement indispensable. Dommage cependant que ce passage se voulant un peu méchant, gâche du coup un peu la beauté des mélodies. Ce dernier nous fait basculer en plus dans une deuxième partie beaucoup moins intéressante, voire ennuyeuse, pour mieux, heureusement, rebondir sur un final dont les guitares nous font retrouver cette richesse mélodique. "For When The Zombies Come" continue dans une voie, tout de même, des plus lugubres... en effet on ne peut pas dire que les morceaux de PENDRAGON respirent la joie de vivre, et il faut préciser en ce sens, que l'ensemble de Men Who Climb Mountains est infiniment triste... beau certes mais triste. La jolie intro acoustique de "Explorers Of The Infinite" ne nous fera pas non plus sauter de joie, belle composition cependant, possédant plusieurs passages forts mémorables... faisant même de ce dernier le second sommet de l'album. Bien que s'étirant un peu trop longuement durant ces environs dix minutes. "Netherworld" clôt cet album, et c'est décidé, on ne rigolera point non plus ici... ambiance toujours aussi déprimée et aussi un peu moins accrocheuse que sur la précédente. Ambiance un peu PINK FLOYD époque Wish You Were Here, titre néanmoins pas désagréable non plus, loin de là.
Au final, une belle découverte pour le néophyte que je suis, avec une note un peu sur la réserve, n'ayant pas d'éléments de comparaison avec les albums précédents. Elle représente aussi le fait que je ressorte davantage deux morceaux du lot par rapport à l'ensemble, ce qui empêche d'atteindre un sommet que d'autres ont déjà gravit avant avec des oeuvres indispensables de bout en bout ou presque. Men Who Climb Mountains donne par contre envie de découvrir l'univers complet de la discographie de PENDRAGON. Et ça, c'est déjà pas si mal, c'est même extrêmement positif. A suivre donc...
Chronique : Renegade88
Les monstres finlandais de LORDI ont dévoilé leur nouveau clip, réalisé pour le morceau titre de leur tout nouvel album, Scare Force One.
EPICA a dévoilé son nouveau clip pour le titre "Victims Of Contingency" extrait de son dernier album, The Quantum Enigma.
THRESHOLD (Progressive Metal) vient de publier un clip réalisé pour le titre "Unforgiven" extrait de l'album For The Journey paru le 19 Septembre dernier via Nuclear Blast.