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BLACK VEIL BRIDES - Détails nouvel album

Publié le par Nono666

BLACK VEIL BRIDES (Dark Rock) a dévoilé les infos concernant son nouvel album studio intitulé Wretched And Divine : The Story Of The Wild Ones qui sortira le 08 janvier 2013 via Lava/Universal Republic.

Tracklist Wretched And Divine : The Story Of The Wild Ones (2013) :
01. Exordium / 02. I Am Bulletproof / 03. New Year's Day / 04. F.E.A.R. Transmission 1: Stay Close / 05. Wretched And Divine / 06. We Don't Belong / 07. F.E.A.R. Transmission 2: Trust / 08. Devil's Choir / 09. Resurrect The Sun / 10. Overture / 11. Shadows Die / 12. Abeyance / 13. Days Are Numbered / 14. Done For You / 15. Nobody's Hero / 16. Lost It All / 17. F.E.A.R. Transmission 3: As War Fades / 18. In The End / 19. F.E.A.R. Final Transmission

 

black veil brides_wretched and divine
 

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DARKTRIBE - Mysticeti Victoria

Publié le par Nono666

DARKTRIBE – Mysticeti Victoria
Massacre Records
Style : Speed Mélodique
Origine : France
Sortie : 2012
Site Web : www.darktribe.fr

DARKTRIBE_Mysticeti Victoria



01. Genesis / 02. Taiji / 03. Roma XXI / 04. Black Meteor / 05. Lightning Guide / 06. Lost / 07. Poison Of Life / 08. Eyes Have You / 09. Beware The God / 10. From Us / 11. Life, Love & Death

Voici venir Mysticeti Victoria, premier album des français de DARKTRIBE qui paraît chez Massacre Records. Loin de ses origines extrêmes, Massacre a largement élargi son panel ces dernières années et nous propose aujourd’hui ni plus, ni moins qu’un groupe de Speed mélodique ! Le premier coup d’ œil sur l’objet vaut le détour : Superbe pochette (bon choix, les mecs !) qui n’ est pas sans rappeler STRATOVARIUS, période Millenium. C’est à l’écoute de ce Mysticeti Victoria (titre à répéter 10 fois tous les soirs, sans bafouiller) que le bât blesse un peu… Non, définitivement non, rien n’est mauvais sur cet album ! Les grattes sont impeccables, les solis lumineux, le chant clair et ultra-mélodique et la section rythmique semble avoir la même équipe médicale que Lance Armstrong. Malheureusement, on a constamment l’impression d’entendre un album composé de faces B de SONATA ARCTICA et de STRATOVARIUS, ce qui ne serait pas pour me déplaire, si ce n’est qu’il s’agit ici d’un nouveau groupe ! L’impression de déjà-entendu est d’autant plus forte que l’album a été mixé et masterisé aux Finnvox studios (chers à SONATA ARCTICA, pour ne citer qu’eux) par Mikko Karmila (NIGHTWISH,…) et Mika Jussila (SONATA ARCTICA,…). On notera quand même une certaine volonté de s’éloigner (un peu) du style « traditionnel » avec certains passages aux guitares nettement plus agressives comme dans "Poison of Life" et son intro carrément Black ou dans "Beware the God" et ses énormes riffs. Alors, NON ! DEFINITIVEMENT NON ! DARKTRIBE n’est pas un mauvais groupe et Mysticeti Victoria est un album que les fans du genre aimeront et se passeront en boucle. J’aurais juste aimé un grain de folie en plus…

Chronique par Emil Maniak

Note : 6/10

 

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TAO MENIZOO

Publié le par Nono666

 

TAO MENIZOO_Logo
Entretien avec Laurent (chant, guitares) réalisé par mail le 28 octobre 2012.


A album incontournable, interview indispensable, c’est donc logiquement que nous avons pris des nouvelles de TAO MENIZOO qui revient après 4 longues années de silence avec un troisième album Journey Through A Devastated Mind ravageur. Au carrefour de bon nombre d’influences, le style des Français est très catchy, une bande son impeccable pour mettre le feu sur scène, un groupe à découvrir, si des organisateurs répondent favorablement aux messages subliminaux envoyés par le groupe dans cette interview. Encore un groupe avec les pieds sur terre qui donne une bonne leçon de ce que l’on peut faire en toute humilité…

On vous a vu sur la scène de la Convention Rock’n’Metal de Fismes (51) en mars dernier, est-ce que cette date marquait votre retour sur scène ?
Disons qu’entre deux « tournées » consacrées à défendre un nouvel album, les dates sont très éparpillées, et très ponctuelles car nous sommes alors plus sur le travail de composition et d’enregistrement. C’est d’ailleurs notre tort que de délaisser la scène pendant ces moments-là, cela laisse le temps au public de nous oublier. Nous avions déjà joué à la Convention pour l’album précédent, j’y tiens régulièrement un stand pour présenter le groupe et ses productions, et nous souhaitions tester les nouvelles compos sur scène dans une ambiance sympa et bien rock’n’roll, en bonne compagnie…Cette scène a donc été l’endroit et le moment idéal pour jauger nos compos à l’aube du live, et ça le fait. Cela ne marque donc pas un retour sur scène en soi, mais cela fait partie des étapes importantes qui ont précédé la sortie de l’album.

Vous y avez joué des titres de ce nouvel album Journey Through A Devastated Mind qui est sorti récemment, étiez-vous déjà conscients de la force de ces nouveaux titres ?
Nous avions déjà eu l’occasion d’en tester certains, pas forcément dans les versions définitives d’ailleurs, contrairement à ce qui a été joué à Fismes, et les réactions du public avaient l’air plutôt bonnes. Le défi supplémentaire que représente un concert comme Fismes est que, comme il s’agit d’une convention, les gens peuvent n’être que de passage, le temps de fouiller les bacs à disques ou de voir le ou les groupes qu’ils ont repérés dans la programmation de la journée. Capter leur attention est un challenge de plus, et je pense que nous avons réussi à intéresser plusieurs de ceux qui ne nous connaissaient pas. Il nous tarde de remonter sur scène, y compris dans la région champenoise (avis aux associations et organisations du coin) afin de tester et d’éprouver à nouveau ces compos sur scène. Nous avons tout récemment rejeté une oreille sur nos deux albums précédents et nous songeons à (ré)introduire dans le set de la tournée prochaine quelques morceaux qui n’ont pas été joués depuis longtemps…

Personnellement, si je vous connaissais de nom, musicalement, je ne vous avais jamais entendu, peux-tu donc présenter le groupe à certains de nos lecteurs dans la même situation ?
Débuté en 1995, après quelques hésitations autour de la place de chanteur, le line-up s’est stabilisé en 2000 autour des quatre membres actuels, fondateurs et indéfectibles : Koshee à la batterie (avec qui je joue depuis nos années collège, il y a quasi 25 ans de ça !), Totof à la guitare, Ronan à la basse et moi-même à la guitare et au chant. Nous jouons du Metal, bien sûr mais nous quatre avons chacun des affinités métalliques différentes (Totof plus hard/heavy/prog  et moi plus black/death/indus par exemple) et aussi des goûts extra-métalliques variés et distincts : Frank Zappa ici, The Cure, Bauhaus là, d’autres choses encore ailleurs…Du coup, à la fois dans les compos et dans nos interprétations individuelles, en tant que musiciens, ce fatras d’influences transparait dans ce que nous créons et jouons…On pourra reconnaître du CORONER ici, du VOIVOD là, du PRONG, du MINISTRY, du Death, du Black,… d’un morceau à l’autre ou dans un même morceau (nous aimons jouer sur les contrastes et les contre-pieds), à cela on peut ajouter un peu de Cold-Wave ou d’Indus’…Notre force, semble-t-il, réside dans notre capacité à constituer un tout cohérent musicalement, et qui fait consensus entre nous (comprendre : tout le monde dans le groupe a plaisir à jouer tous nos morceaux, personne ne se sent bridé ou contraint en rien), avec ce foutoir…Le mieux reste de venir jeter une oreille à nos albums, ils peuvent tous être écoutés en streaming à partir de notre site http://www.taomenizoo.com  (lien vers notre bandcamp : http://www.taomenizoo.bandcamp.com  ) en commençant par le dernier et en remontant le temps à rebours pour se rendre compte de l’évolution, et surtout de ne pas s’arrêter à un titre ou deux, tant l’approche peut changer d’un titre à l’autre, ou au sein d’un même titre…

Vos albums sont très espacés, on connait les difficultés de Manitou Music qui ont laissé sur le carreau pas mal de groupes prometteurs de la scène Française, quand cet album a-t-il été composé ?
Comme nous faisons tout nous même, il y a vraiment un temps pour chaque chose. Lorsque le précédent album est sorti en 2008, il y a eu une bonne vingtaine de dates sur fin 2008 et début 2009, et notre priorité était donc de bien bosser le set pour assurer des lives de qualité. L’enregistrement des parties de batterie a commencé fin 2010. Ce qui place donc la composition des titres entre 2009 et 2010. L’enregistrement, maison, avec les libertés que cela permet, y compris de ne pas être contraint par un planning de studio, s’est lui étalé entre fin 2010 et début 2012…Une grosse année en fait, mais il faut voir que chez nous, l’enregistrement fait aussi partie du processus de composition, soit par les arrangements qui sont plus travaillés sur les versions finales que sur les pré-productions, soit que ce sont carrément les structures qui sont revues, lorsqu’on passe des démos « patternisées » aux prises réelles d’une seule traite et qui peuvent révéler des faiblesses dans l’architecture de la chanson. En outre, l’écriture des paroles démarre en général vers la fin des prises instrumentales, pour s’appuyer sur les versions finalisées des chansons. Avant cela, sur les démos et en répète je travaille la mise en place et la scansion avec du « yaourt ».

TAO MENIZOO_Band

Avez-vous pensé à raccrocher à un moment durant ces 4 années certainement habitées de doute ?
Nous n’avons pas pour objectifs de vivre de notre musique, ni de devenir des stars. Notre premier souci est de prendre du plaisir à jouer, sur scène, là où nous pouvons donner du plaisir aux gens en leur faisant remuer la tête, les tripes, taper du pied, leur hérisser les poils des bras si possible…Donc tant que nous sera donnée la possibilité de faire de la scène, tant que les retours sur les albums montreront qu’il y a un public pour ce que nous faisons, alors nous continuerons. Quand le public se désintéressera de nous, ou que nous même serons lassés de l’investissement personnel et financier que cela représente, alors nous ferons simplement notre sauce dans notre coin (on n’abandonne pas la musique comme ça, quand cela fait plus de 25 ans qu’elle occupe votre vie)…Mais il n’y a aucune raison de raccrocher, ce n’est pas un simple hobby…Certains musiciens ou certains groupes lâchent la musique, sans état d’âme, dès qu’ils comprennent que leurs rêves de succès ne se réaliseront pas comme ils l’ont espéré, ce n’est pas notre cas, ce n’est pas ce après quoi nous courons. C’est peut-être ce qui explique la modestie de notre notoriété, on ne se prend pas pour le meilleur groupe du monde, the « next big thing », donc on se sous-vend par excès d’humilité… A voir ?

On sent une progression très nette entre So Blind et Journey Through A Devastated Mind, dans quel état d’esprit étiez-vous lorsque vous avez composé ces titres ?
La progression est nette entre les deux albums, parce qu’ils représentent la partie visible et ponctuelle d’une évolution qui est continue quand on la vit de l’intérieur. Il est visible (audible) qu’en terme d’approche musicale, nous soyons allés vers plus de simplicité, pour plus d’efficacité et plus d’impact…Et aussi vers des tempos plus lents, plus massifs, plus pesants…Cela n’a pas été une démarche calculée, volontaire, et pré établie…C’est venu comme ça, conformément à nos goûts et nos envies de ces dernières années. On ne compose pas en fonction d’un cahier des charges qu’on s’imposerait, ou qui viendrait des attentes du public… Je ne peux préjuger en rien de ce que seront les prochaines compos… mais il est fort possible qu’il y ait encore plus de pesanteur à venir… Entrecoupée de blasts… ou le contraire, plus de blasts entrecoupés de plages lentes…

Comment s’est passé l’écriture, est-ce un travail collectif ?
Deux approches pour les compos : travail individuel sous forme de démos abouties puis travail d’appropriation collective, avec parfois ré-écriture partielle, ou bien travail collectif en partant de riffs trouvés lors de jams en répète, qu’on fait tourner, qu’on colle avec d’autres bouts et idées de morceaux d’avant. Donc que le point de départ soit un apport individuel ou une exploration collective, le morceau final résulte d’une appréciation et réinterprétation collective du titre. Il y a des groupes avec un musicien leader qui apporte les partitions à ses collègues qui ont très peu de marge de manœuvre pour y caser leur interprétation personnelle, ce n’est pas notre cas. Celui qui amène une idée peut même se voir dire que c’est médiocre sans qu’il le prenne mal. Il n’y a d’ailleurs jamais eu d’engueulade majeure entre nous, de celles qui provoquent des splits pour « divergences musicales »…

Que signifie le titre de l’album, y a-t-il un fil rouge entre chaque titre pouvant décrire ce voyage qu’évoque ce titre ? A quel moment interviennent les paroles des titres, est-ce très tôt dans la composition où attends-tu d’avoir plusieurs titres pour avoir une direction à prendre ?
Comme je disais plus haut, les paroles arrivent tardivement dans la composition, quand les morceaux qui seront sur l’album sont sélectionnés, et que leur structure est quasi définitive. A ce stade, même sans texte intelligible, les lignes de chants sont déjà posées et bien établies. Il leur arrive quand même d’être reprises ou restructurées, et donc réenregistrées, si l’efficacité du morceau le requiert. C’est un des avantages de tout faire à la maison : pouvoir tout reprendre à tout moment. Par contre, comme pour l’album précédent, je me suis donné un thème directeur, un concept, avant de démarrer l’écriture. Cet album, comme son titre le laisse deviner, est une exploration des noirceurs de l’âme humaine dans ce qu’elle a de plus pervers, sadique et cruel. Ce pourrait être une porte ouverte sur l’âme d’un psychopathe brutal et violent…Quoique certains textes puissent aussi être interprétés comme venant d’une personne qui serait la victime d’un tel individu. Par contre, je précise bien que j’ai fait œuvre de fiction, je n’ai pas écrit ces textes pour me libérer de mes pulsions, bien que le point de départ ait été introspectif, j’ai décidé d’aller bien au-delà… Mais peut-être que chacun pourra y reconnaître certains de ses démons, certaines de ses émotions, pulsions ou certains de ses désirs…

La pochette de l’album montre une fille avec une arme à la main, est-ce l’issue du voyage qui est ici mis en image ou le début ?
Ha haaaa…C’est tout l’intérêt de cette photo d’Eric Honeycutt, un photographe américain, que de laisser planer cette ambiguïté quant à son interprétation. Chacun selon son vécu personnel y verra soit une victime, soit un bourreau, soit l’événement déclencheur de cette folie, soit son terme…Et donc, nous n’avons pas l’intention de dire ce qu’il faut y comprendre, c’est une interprétation ouverte, chacun la sienne…

TAO MENIZOO_Band_Logo

Cet album est très varié entre titres proprement Thrash comme l’excellent "Messiah" et des choses plus écrasantes comme "My Shroud, My Scars". Avez-vous composé plus de titres pour pouvoir proposer un tel panel de variation dans l’ambiance et dans le tempo ?
En effet, nous avions 5 à 6 morceaux de plus, soit de minuscules embryons, soit des riffs qu’on traine depuis plusieurs années sans avoir réussi à en faire quelque chose de satisfaisant, soit des morceaux complets et aboutis (démos de l’un ou l’autre d’entre nous)…Nous avons donc fait une liste de tous les titres, et chacun y a mis ses « + » et ses « - », marqués les indispensables et les refusés d’office…La tracklist finale est donc celle qui a fait consensus parmi nous. Les recalés ne sont pas perdus pour autant : certains seront repris, retravaillés, éventuellement démembrés pour être exploités autrement, et ils pourront apparaitre sur le prochain album si leur nouvelle incarnation coïncide avec nos envies musicales du moment. A propos de recyclage : certaines parties de « What if… », à savoir la partie speed et la bancale qui la précède, sont issues de deux morceaux qu’on jouait au début du groupe, abandonnés depuis, mais qu’on doit pouvoir retrouver sur quelques lives ou démos de l’époque…Pire même : la partie bancale en question est, elle, reprise d’un bout de morceau qui date de notre groupe de new-wave collégien des années 80 ! Rien ne se perd…

Un titre comme "Messiah", justement, évoque très bien vos influences Indus’ qui nous dirigent tout droit vers MINISTRY en ce qui concerne ce titre, mais ce ne doit être que la partie visible de l’iceberg, qu’est-ce qui vous inspire pour l’écriture, quelles vos influences ?
Effectivement, comme évoqué plus haut, MINISTRY est bien une influence importante, parmi les autres déjà évoquées. Mais nous sommes tout à fait capables, ni vu ni connu, d’emprunter à d’autres influences, notamment hors Metal, surtout qu’en ce qui concerne le batteur et moi, nous avons fait partie d’un groupe de Cold-Wave/Rock Indé pendant 10 ans, que nous avons appris à jouer dans les années 80 en écoutant et en jouant THE CURE, BAUHAUS, LOVE & ROCKETS, les premiers U2, les groupes du label 4AD, les SEX PISTOLS, CLASH ou STRANGLERS…Tous ces groupes font partie de notre background musical, aux côtés de MOTÖRHEAD, METALLICA, ACCEPT et IRON MAIDEN, et ils conditionnent forcément tous notre façon d’appréhender la musique et notre jeu, peut-être même plus profondément que le Métal que nous avons pu écouter ces dernières années.

Cet album est une autoproduction jusque dans l’enregistrement, seul le mastering a été confié a une personne extérieure (Brett CALDAS-LIMA), est-ce un choix, comme de plus en plus de groupes le font, ou une contrainte ?
Plus qu’un choix ou une contrainte, c’est une habitude, une quasi-culture du do it yourself…En effet, dès nos débuts de collégiens, à Koshee  (le batteur) et moi, nous nous sommes enregistrés dans son sous-sol avec un 4-pistes à K7, puis un 8-pistes à bande. Le nombre de conneries que nous avons enregistrées !! Je les ai encore, il faudrait que je les transfère numériquement, pour les pérenniser…Peut-être les mettrais-je en ligne…Un site « mémorial » à notre adolescence musicale ;-) Ensuite, avec les débuts de TAO MENIZOO, nous avons repris ce mode de fonctionnement d’abord avec le 8-pistes à bande, puis avec les solutions informatiques. Très occasionnellement, pour des pré-productions ou des compiles, nous avons fait du studio (sur de très courtes durées : 2 à 3 jours max), mais notre réel mode de fonctionnement, c’est celui-là : tout faire par nous-mêmes, parce que nous aimons cela, que ça fait partie du processus créatif, pour la liberté que cela donne de pouvoir revenir sur son travail pour le peaufiner, pour avoir aussi la satisfaction de se dire que nos réussites (et nos ratages) n’appartiennent qu’à nous et nous seuls…Un peu aussi maniaques du contrôle ? Peut-être…

Qu’y a-t-il de prévu en terme de concerts pour TAO MENIZOO, cherchez-vous des dates ponctuelles ou une idée de tournée est-elle possible ?
En l’absence d’un tourneur qui prendrait ce travail en charge en l’optimisant, nous cherchons par nous-mêmes un ensemble de dates ponctuelles de tous genres (première partie, co-headlining, festivals, salles, MJC, rades, squatts…) qui réunies constitueraient un « Devastated Tour » sur le 1er semestre 2013. A nouveau : avis aux organisations, n’hésitez pas à nous contacter !

Question subsidiaire : que signifie donc TAO MENIZOO ?
Nous ne saurons jamais dans quelle proportion ce nom atypique, pour le metal, nous aura desservi (parce qu’éloigné de l’esthétique classique du genre) ou au contraire servi, en titillant la curiosité des gens… En tout cas, cela ne veut rien dire de particulier. Cette succession de son/onomatopées est sortie du cerveau du batteur à un moment où on donnait n’importe quoi comme nom provisoire à nos nouvelles compos…Et quand est venu le premier concert et la nécessité de mettre un nom sur l’affiche, on a pris ça, et c’est resté ! Et finalement, ça ne colle pas si mal, à notre côté foutoir d’influences dans un tout cohérent !

Propos recueillis par Aymerick Painless

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KOBRA AND THE LOTUS - Clip

Publié le par Nono666

Le groupe canadien KOBRA AND THE LOTUS vous propose de découvrir son nouveau clip pour le titre "50 Shades Of Evil" extrait de l'album éponyme Kobra And The Lotus paru au mois d'août dernier.

 

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PPM FEST - Groupes confirmés

Publié le par Nono666

Le prochain PPM FEST se tiendra les 11/12/13 Avril 2013 au Lotto Mons Expo de Mons en Belgique, voici la liste des premiers groupes confirmés :

AVANTASIA / STRATOVARIUS / AMARANTHE / HELLOWEEN & GAMMA RAY (Hellish Rock Tour) / ORPHANED LAND / ASTRA / DIVIDED MULTITUDE / TURISAS / CIRCUS MAXIMUS / EMPYRIOS / MYRATH / VITAL BREATH / DGM / MANTICORA / NIGHTMARE / SOLISIA / DRAKKAR ...

 

PPM FEST_maj112012
 

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THE SLAUGHTERS - Brothers In Blood

Publié le par Nono666

THE SLAUGHTERS – Brothers In Blood
Brennus Music
Style : Heavy Metal
Origine : France
Sortie : 2012
Site Web : www.myspace.com/theslaughters31

THE SLAUGHTERS_Brothers In Blood



01. Intro / 02. The Last Stand / 03. The Avenger / 04. Don't Leave Me / 05. The Hunger / 06. Brothers In Blood / 07. The Legacy / 08. Warchant / 09. If I Don't Wake Up Tomorrow / 10. The Misfortune Of The Pythia / 11. Outro / 12. Brothers In Blood (Radio Edit - Bonus track)

Brothers in Blood est le premier album du combo toulousain THE SLAUGHTERS. Contrairement à ce que leur nom pourrait suggérer, THE SLAUGHTERS évolue dans un Heavy Metal classique fortement influencé par IRON MAIDEN. « Ah non ! » me dites-vous, « pitié, pas un clone de Maiden à deux sous de plus, ça suffit ! ». Rassurez vous ! Coller une pareille étiquette à THE SLAUGHTERS serait une lourde erreur… Car si Brothers in Blood est un album qui suinte le Piece of Mind de partout, il possède sa propre personnalité, sa propre ambiance. On est souvent (très) loin du tagada-tagada cher à Steve Harris, les guitares sont acérées et aggressives, la section rythmique ultra carrée. Là dessus vient se greffer le chant qui finit d’éloigner le spectre de la Vierge de Fer de vos oreilles : Tantôt éraillé, tantôt clair et haut perché ; tantôt martial, tantôt lyrique ; une ambiance sombre et glauque tombe et vous plonge dans l’univers de THE SLAUGHTERS. Mention spéciale à "The Hunger" et son ambiance vampiresque, au chant rappelant KING DIAMOND et à "Brothers in Blood" oscillant entre du vieux RUNNING WILD et du VENOM (le tout avec une partie narrative en français s.v.p.). Le groupe a parfois tendance à tomber dans les clichés du genre (citons les « oh, oh » disséminés un peu partout), mais il le fait avec sincérité et une envie évidente d’apporter sa pierre à l’édifice Heavy Metal, et si tout n’est pas parfait sur cette première galette, on ne peut qu’être impatient d’entendre la suite. En résumé, THE SLAUGHTERS nous offre ici un premier album de bonne facture contenant quelques hymnes accrocheurs et pose les bases de son style.

Chronique par Emil Maniak

Note : 7/10

 

THE SLAUGHTERS_photo
 

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BEYOND THE LABYRINTH - Clip

Publié le par Nono666

Les Belges de BEYOND THE LABYRINTH (Progressive Hard Rock) viennent de publier leur nouveau clip pour le titre "Wings", et ça se regarde ci-dessous :

 

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ARKHAM WITCH - Nouvel album

Publié le par Nono666

Les Anglais d'ARKHAM WITCH (Heavy/Doom) sortiront leur second album intitulé Legions Of the Deep le 09 novembre prochain via Metal On Metal Records.

Tracklist Legions Of  The Deep (2012) :
01. David Lund / 02. At the Mountains of Madness / 03. Iron Shadows in the Moon / 04. Infernal Machine / 05. The Cloven Sea / 06. On a Horse Called Vengeance / 07. Gods of Storm and Thunder / 08. Kult of Kutulu / 09. Legions of the Deep (feat. Leo Stivala de FORSAKEN) / 10. We're from Keighley / 11. [untitled]

 

ARKHAM WITCH_Legions Of The Deep
 

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MÄGO DE OZ - Artwork et tracklist dévoilés

Publié le par Nono666

MÄGO DE OZ  a dévoilé l'artwork et la tracklist de Hechizos, Pócimas y Brujería, son nouvel album qui sortira le mois prochain.

Tracklist Hechizos, Pócimas y Brujería (2012) :
01. El libro de las sombras / 02. H2Oz / 03. Xanandra / 04. Sácale brillo a una pena / 05. Satanael / 06. No pares (De oir Rock & Roll) / 07. A marcha das meigas / 08. Quiero morirme en tí / 09. Sigue la luz / 10. El mercado de las brujas / 11. Celtian / 12. Brujas / 13. Hechizos, Pócimas y Brujería

 

MAGO DE OZ_Hechizos Pocimas y Brujeria

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RETALIATORY MEASURES - Withdrawal Syndromes

Publié le par Nono666

RETALIATORY MEASURES – Withdrawal Syndromes
Massacre Records
Style : Death/Thrash Metal
Origine : Finlande
Sortie : 2012
Site Web : www.myspace.com/retaliatorymeasures

Retaliatory Measures_Withdrawal Syndromes



01. The Offering / 02. Withraw / 03. Decompose / 04. Pharynx / 05. Soap  / 06. Threshold / 07. Revulse / 08. Killing / 09. Existence / 10. Since Nothing

Actif depuis 2009, le groupe Finlandais RETALIATORY MEASURES voit ses efforts fournis à travers deux autoproductions récompensés par un premier album, Withdrawal  Syndromes, publié via MASSACRE RECORDS. Dans une veine Death/Thrash Metal assez virulent, le groupe présente quelques aspects mélodiques qui vont prendre de plus en plus d’importance au fil de cet album car si "The Offering", qui nous évoque les travaux les plus durs de TESTAMENT ou ONSLAUGHT, tape dans le dur, on y décèle également quelques mélodies qui sur "Soap" donne un côté plus ambiant à la musique du groupe. Pourtant des "Withraw" ou l’excellent "Decompose" brisent des nuques à tout va et c’est encore là où le groupe semble être le plus à l’aise. En effet, l’orientation musicale varie beaucoup sur cet album et on a un peu de mal à voir où le groupe veut aller malgré la qualité indéniable des compositions, ainsi on trouve des nappes de clavier sur "Revulse" qui appuient sa ligne de chant ou des claviers au son Prog’ incontestable sur "Killing", est-ce là le résultat des derniers travaux d’OPETH ? Et puis il y a ce chant clair sur l’ultime "Since Nothing" qui augmente encore le champ d’action des Finlandais. Alors non pas que cet album souffre d’incohérence car la racine Death/Thrash est toujours perceptible, mais pour un premier album, nous sommes plus souvent confrontés à des opus menés sur un rythme et une ambiance continue, la preuve d’une maturité certaine du groupe, peut être, ou bien un flou dans la direction que le groupe souhaite suivre, toujours est-il que ce Withdrawal Syndromes montre un groupe qui maitrise le style et qui essaie d’y apporter un peu de variation, parfois avec un peu de maladresse mais rien de mauvais. RETALIATORY MEASURES devra certainement asseoir son nom à travers ses concerts car, pour le moment, sur album, la musique des Finlandais manque encore de titres véritablement marquants.

Chronique par Aymerick Painless

Note : 7.5/10

 

Retaliatory Measures_Band
 

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