CATHEDRAL - Clip
CATHEDRAL vient de publier le clip réalisé pour le titre "Tower Of Silence" issu de l'album The Last Spire à paraitre le 29 Avril prochain via Rise Above Records.
CATHEDRAL vient de publier le clip réalisé pour le titre "Tower Of Silence" issu de l'album The Last Spire à paraitre le 29 Avril prochain via Rise Above Records.
Le nouvel album des Suèdois de FEJD (Folk Metal) publieront leur nouvel album intitulé Nagelfar le 3 Juin 2013 chez Napalm Records. La tracklist et l'artwork ont été dévoilé...
Tracklist Nagelfar (2013) :
01. Ulvsgäld / 02 Sigurd Ring / 03. Nagelfar / 04. Dis / 05. Den skimrande / 06. Jordens smycke / 07. Fjärrskådaren / 08. Vindarnas famn / 09. Häxfärd / 10. Ulvsgäld (Bonus Track)
IN VAIN - Aenigma
Indie Recordings
Style : Progressive / Melodic Death Metal
Origine : Norvège
Sortie : 2013
Site Web : www.myspace.com/invainno
01. Against The Grain / 02. Image Of Time / 03. Southern Shores / 04. Hymne Til Havet / 05. Culmination Of The Enigma / 06. Times Of Yore / 07. Rise Against / 08. To The Core / 09. Floating On The Murmuring Tide
Après 10 ans d’existence et 4 ans d’absence avant de donner un successeur au très bon Mantra (sorti, donc, en 2009), les norvégiens d’IN VAIN nous livrent ici, avec Aenigma, un album tout en contrastes et en surprises. Neuf pistes sur cet album nous permettront d’apprécier toute la diversité et l’univers mouvant d’IN VAIN qui continue d’explorer tous les possibles. Entre chant « Death » et chant « Black », des passages en chant clair, ou même récités, on ne peut pas dire que le groupe s’enferme dans un style, au contraire, ils créent le leur, enfin, ils l’étoffent. S’il est clair que ça ne plaira pas à tout le monde, il faut se dire que c’est bon signe (j’ai entendu quelque part : « si tout le monde aime ce que tu fais c’est que c’est de la merde », et les preuves ne disent pas le contraire). Je ne suis pas une grande adepte du chant clair, qui, à mon sens, a souvent tendance à « casser l’ambiance », un rythme appuyé, mais dès le premier titre d’Aenigma "Against The Grain", IN VAIN me donne tort, la variation des styles de chant donne un relief particulier à leurs morceaux, et ils nous en donneront la preuve sur les autres titres. Ce sont des experts du mélange, et la mayonnaise prend (et nous savons tous que réussir une mayonnaise n’est pas donné à tout le monde, fin de la pause bouffe !). Une belle entrée en matière, sans pour autant spoiler le reste d’Aenigma. Les pistes s’enchainent et ne se ressemblent pas. "Image Of Time" est une chanson qui a su me rester en tête dès la première écoute de l’album. C’est un morceau où l’on a l’occasion de voir que l’on peut jouer « facilement » avec le timbre d’une voix (je ne veux pas critiquer, mais ça prouve que certains autres n’ont pas le talent ou l’imagination pour sortir d’un timbre monocorde…), passer d’une instrumentation purement « Death » à des passages « Heavy » sans faillir. Je pourrai m’attarder sur chaque pistes : ce sont des morceaux « à tiroirs », truffés d’influences diverses et de subtilités, mais il suffira de dire qu’il s’agit, tout simplement, du style IN VAIN. Ils piochent partout et mélangent avec virtuosité des styles qui semblent bel et bien opposés. Je suis peut être sourde (si c’est le cas je vais faire des sacrées économies de boules quiès), mais les passages en chant clair sur le morceau "Hymne Til Havet" m’ont beaucoup fait penser à un style New Wave, savamment mixé avec une voix « Black » et des mélodies plutôt « Heavy ». Il est clair aussi qu’avec des morceaux qui font entre 5 et 9 minutes (hormis le très agréable intermède "Southern Shores", on a le temps de s’amuser et de se permettre quelques bifurcations. "Culmination Of The Enigma" (titre qui dit vrai), morceau de 8 minutes, montre qu’IN VAIN n’a pas besoin de s’abimer dans une débauche de technicité, la maîtrise est évidente, et ils privilégient la mélodie. Passés maîtres dans l’art de jongler entre les ambiances d’une minute à l’autre, il leur suffit de reprendre la même ligne mélodique et simplement de changer de tonalité avant d’enchainer sur un passage récité … Morceau qui respire le mystère et la confusion, sans pour autant perdre l’auditeur : ça c’est de l’ambiance efficace. Aenigma est un album protéiforme : des passages au saxophone, des rythmes variés, des mélodies qui nous propulsent d’un univers à un autre sans que l’auditeur soit perdu, simplement pour lui faire tendre l’oreille et s’interroger. IN VAIN, c’est un style reconnaissable, pour un Metal progressif « décomplexé », qui va mélanger rudesse et douceur (le dernier titre "Floating On The Murmuring", une merveille de diversité), Death bien lourd et ballade, chant clair et chant guttural. Aenigma porte décidément très bien son nom, et il m’est impossible de préférer un morceau à un autre, tant ils s’enchainent avec fluidité et donnent toujours la possibilité de s’étonner, et la note, c’est juste parce que je ne mets jamais 10/10, bien qu’avec IN VAIN je ne doute pas d’être à nouveau enchantée.
Chronique : Nastassja
Note : 9,5/10
HELLBASTARD - Sons Of Bitches
Selfmadegod Records
Style : Crust Punk/ Thrash Metal
Origine : Angleterre
Sortie : 2013
Site Web : www.hellbastard.co.uk
01. Wolfsong / 02. Arcadia / 03. Sons Of Bitches / 04. System Whore / 05. We Had Evidence / 06. Throw The Petrol Bomb
HELLBASTARD voit le jour en 1986 à Newcastle, Angleterre avec comme ambition de mélanger le Crust Punk et le Thrash Metal avec des paroles fortement engagées politiquement prônant l'anarchisme et l'antifascisme. Après une longue période d'inactivité entre 2000 et 2009, le groupe repart à la conquête du monde et nous allons parler ici du dernier EP en date : Sons Of Bitches. On commence avec le premier titre qui porte très bien son nom, vu que l'intro est un enregistrement de cris de loups qui fait vite place à ce fameux mélange Crust/Thrash savament dosé qui montre qu'on a affaire à des pros. La batterie gronde de façon menacante, les grattes sonnent Punk et les lignes vocales signalent clairement la colère et l'envie de tout péter du groupe. On a la même la surprise d'entendre des effets indus' samplés. Une jolie entrée en matière. On enchaîne avec le titre éponyme qui penche beaucoup plus du côté Thrash dans sa sonorité et dans sa technicité. La voix ressemble à un mix entre Chuck Billy (TESTAMENT) et Wattie Buchan (THE EXPLOITED). Encore une fois, des effets de samples et de voix trafiquée apportent une touche indus' pas désagréable. "System Whore" démarre au quart de tour avec un superbe solo évoquant EXODUS. Le morceau est beaucoup plus long que ses compagnons (5.45 minutes quand même) et alterne les passages Punk/Thrash anarchistes avec des interludes ambiants psychédéliques et angoissants plus ou moins longues où se mélangent samples, base rythmique, choeurs féminins et monologues masculins tortutés. Ces mecs ne fument pas que du tabac et ne boivent pas que du café, ca saute aux oreilles. Nous voici, maintenant, face à "We Had Evidence" (2012) et son intro pour le moins inattendue. Un mélange de Metal Symphonique et de Power Metal qui s'estombe doucement pour revenir progressivement vers le style de prédilection du combo. Les grandes particularités de ce titre sont sa compo' orginiale et très travaillée et la très petite quantité de paroles qui ressemblent le plus souvent à un monologue enregistré par dessus qu'à une vraie chanson. Mais ça n'enlève rien au plaisir, ce morceau est très appréciable et on se le repasse volontiers plusieurs fois d'affilée. On termine avec la grosse surprise de cet EP : son dernier titre "Throw The Petrol Bomb" qui est un morceau reggae (si, si je vous jure !). Allez savoir ce qui est passé par la tête des Anglais au moment où ils se sont dit qu'il serait bien de finir leur EP par un morceau Reggae ! "Throw The Petrol Bomb" est sympa à écouter et bien groovy, mais on se demande si on écoute bien le même disque la première fois. Pour conclure, HELLBASTARD a bien réussi sa mission. Sons Of Bitches est un EP très sympa à écouter, riche, varié, à la qualité technique honorable et bien plus travaillé qu'on ne pourrait penser avec l'étiquette "Crust Punk". Je vous le conseille à tous.
Chronique : Germain
Note : 8/10
VALIENT THORR sortira son sixième album intitulé Our Own Masters le 18 juin prochain via Volcom Entertainment.
Tracklist Our Own Masters (2013) :
01. Immaculate Consumption / 02. Master Collider / 03. Manipulation / 04. No Strings Attached / 05. Life Hands You Demons / 06. Torn Apart / 07. Cerberus / 08. Good News Bad News / 09. Insatiable / 10. Crowd Pleaser / 11. Nervous Energy / 12. Call Off The Dogs
Le 23 Mars, DEICIDE était en concert à l'Entrepôt à Arlon en compagnie de KARNAK, DESTINITY, SWEETEST DEVILRY, DISGRASEED et BLACK BLEEDING... le live Report est maintenant disponible :::>>> Ici .
THE END OF THE WORLD TOUR
DEICIDE / KARNAK / DESTINITY / SWEETEST DEVILRY / DISGRASEED / BLACK BLEEDING
L'Entrepot - Arlon (B) - 23 Mars 2013
Arlon, chef lieu de la province du Luxembourg. Une province rurale et forestière où il fait bon vivre, où les oiseaux chantent, où les animaux sauvages vivent en paix et où les tracteurs provoquent des embouteillages en roulant à 30km/h sur les routes. C'est dans ce paysage utopique que se trouve l'Entrepôt, salle de concert très appréciée qui a vu passer des groupes comme ULTRA VOMIT, KRONOS, THE ARRS, ETHS ou encore SEPULTURA. Mais aujourd'hui, je me rends dans cette salle entièrement remise à neuf pour un moment de Death Metal exceptionnel : Le Cronos Metal Show. En effet, pas moins de 6 groupes vont s'enchaîner sur nos planches à l'occasion du "The End Of The World Tour" avec, en apothéose, DEICIDE. Les portes ouvrent à 16h30, on peut d'ailleurs admirer deux énormes tourbus stationnés juste devant l'entrée. L'Entrepôt est transformé ! Après un an de travaux, on redécouvre une salle de concerts toute neuve. Les murs sont tous peints en noir, la toiture n'est plus apparente, de vraies toilettes à l'eau courante (à la place de la cabine chimique immonde qu'on avait jusque là), un bar flambant neuf et des enceintes encore plus grosses. L'Ardenne belge a enfin une salle de concert digne de ce nom pour le Metal !
Il est 17h30 lorsque le premier groupe monte sur scène. BLACK BLEEDING est un groupe originaire de la province et qui a déjà maintes fois fait ses preuves dans tous les évènements locaux. Le trio nous sert un Thrash/Death Metal pas piqué des vers comme on l'aime par chez nous. Le public n'est pas encore très présent, mais l'ambiance y est. Du bon son, des riffs apocalyptiques et une rythmique torturée, de la binouse qui coule à flot et une bonne humeur communicative. Le trio nous aura livré un bon set, professionnel, délirant et d'une durée correcte de 30 minutes.
Setlist BLACK BLEEDING : A Bright Future / The Entry Of Christ / War Is Fun / 3 More Beers / Tar And Feathers / Initials B.B. / Bloodsuckers
Les balances entre chaque groupe doivent aller vite, l'horaire ayant changé à la dernière minute. Il est 18h30 quand le second groupe, DISGRASEED, monte sur scène. Le groupe nous vient de Charleville-Mézières et joue un Death/Grind bien crade comme on l'aime. Je découvre tout juste le groupe et je suis conquis après le premier titre. Pigsqueal maîtrisé, riffs assassins et bourrins, batterie ultra rapide, basse lourde et groovy : tout ce que j'aime ! On serait tenté de croire qu'un tel groupe soit trop brouillon sur scène et que l'on ait qu'un vague bourdonnement dégueu dans les oreilles, mais non ! La qualité sonore du matos et de la salle rendent le show absolument énorme. La musique des Français est rythmée, groovy, grasse, un peu à l'image d'un GENITAL GRINDER ou d'un GORYPTIC. Le public approche doucement vers l'avant de la scène et on commence à voir apparaître les premiers mosh pits de la soirée. DISGRASEED a plu au public belge et a, en à peine une demi heure, gagné plusieurs dizaines de fans. En tout cas, c'est un groupe que je conseille à tous les fans de Death Metal et de Grindcore.
Setlist DISGRASEED : Intro / Bleeding Alone / Amsterdamned / Disgraweed / Pusher Street / Red Light Debauchery / Flesh Market / Severed Head Memento / Eilecuod
Tout juste le temps de s'en griller une dehors dans le froid et de prendre une bière au bar que SWEETEST DEVILRY est déjà sur scène. On vire de bord et on passe du Grindcore au Death Metal mélodique "Children-Of-Bodomien". Le tout jeune groupe français aux allures scandinaves n'est né que depuis février 2012, mais ils ont déjà un sacré bagage technique et le soutien du label Energy Zombie Management. On monte d'un cran dans le sens de la mélodie et la dextérité des doigts, ces types nous offrant un impressionnant Metal névrosé et novateur visiblement très influencé par IN FLAMES, BEFORE THE DAWN et, bien sûr, CHILDREN OF BODOM. Ces jeunes chevelus déploient toute leur énergie dans leur set qui, malheureusement, ne durera que 20 minutes ! Le public, lui, semble moins enthousiasmé par cette performance, pourtant d'une honorable qualité, que par les deux précédentes et reculera plutôt vers le bar.
Setlist SWEETEST DEVILRY : Santa Claus / Continue To Ask. Pray. / Forever Strong / Dive Into Tha Ditch / Fuck Human Race
Bon, il est déjà 20h, la moitié des groupes ont joué et, jusqu'à présent, tout s'est bien passé. Le public commence à se faire plus nombreux et s'approche de plus en plus de la scène. Ca y est, il est 20h15 et DESTINITY commence son show. Le groupe est en forme et nous offre un set très carré et très pro. Les titres du nouvel album sont nombreux et font mouche sur une audience venu headbanguer et mosher en masse devant les Français. Le concert est d'une énergie presque palpable dans l'air, le groupe est gonlfé à bloc malgré un line-up incomplet (le batteur présent ce soir est un batteur de session engagé pour les besoins de la tournée). L'Entrepôt adore DESTINITY, la salle accueille le groupe depuis leurs débuts et leur venue est toujours courronnée de succès. Les Lyonnais n'ont que 30 minutes devant eux pour montrer qui ils sont alors pas de parlote avec le public, pas de pause ou de repos pour les oreilles. On balance les titres les uns après les autres de la façon la plus lourde, la plus meurtirère et la plus efficace possible. La salle est chauffée à blanc lorsqu'on en arrive à la fin du show avec "The Hatred", titre issu du dernier album et qui fait déjà office d'hymne fédérateur. On en redemande, on gueule, on lève le poing tous en choeur; mais il faut faire place aux suivants et c'est bien dommage. DESTINITY aura donné l'un des meilleurs concerts de la soirée. Mais ce n'est pas fini !
Setlist DESTINITY : Intro + Redshift / Aiming A Fist In Enmity / Intro + Sensless Theory / Your Demonic Defense / Evolution: Devilution / Black Sun Rising / The Hatred
On quitte la Belgique et la France pour la première fois de la soirée pour aller faire un petit tour en Italie avec KARNAK, un groupe donnant dans le Death Metal progressif et technique inspiré par SUFFOCATION ou CANNIBAL CORPSE. Je ne sais pas vraiment à quoi m'attendre avec ce groupe. L'Italie n'est pas un pays qui a retenu ma curiosité métallique jusqu'à présent, mais je suis de nature curieux et insatiable de nouveaux groupes. Les Italients montent sur scène et on a droit à une déflagration de décibels et d'agressivité. Les notes fusent comme des balles de M-16 et la voix d'outre-tombe résonne dans nos têtes comme une possession. La technicité des zikos est bluffante, les solos s'envolent et retombent comme des rafales de napalm sur nos tympans déjà morts et enterrés. Les titres s'enchaînent à grande vitesse et ne laissent aucun répit. La setlist est, hélas, introuvable; mais on retiendra un show court mais d'une grande qualité qui nous aura bien remué les tripes et qui nous maintiendra en nage jusqu'à l'arrivée des stars de la soirée.
La dernière balance est en cours alors que les fans commencent à être sérieusement collés les uns aux autres. Il faut dire qu'un tel évènement est très rare dans cette région et que certains auront fait un long voyage pour assister à cela. Alors que les roadies font leur travail, une aura étrange et pesante pénètre la pièce. La salle est comble, une forte odeur de sueur et de weed nous prend aux sinus et une force invisible semble prendre possession des pauvres âmes errantes que nous sommes. La tension devient vraiment insoutenable quand les Américains montent sur scène, accueillis par une onde de hurlements et de mains aux index et auriculaires levés. DEICIDE est là, face à nous. Les membres semblent avoir un peu vieillis et se sont un peu empâtés mais l'aura maléfique qui les entoure est toujours la même. Il est 22h00 lorsque résonnent les premières notes de "Homage For Satan", l'un des nombreux classiques du groupe. Les métalleux ardennais n'en attendaient pas moins pour lancer le premier vrai mosh pit de la soirée. La folie s'empare de nous, les refrains sont chantés en choeur, les têtes remuent au rythme éffréné de la batterie de Steve Asheim. Jack Owen démontre tout son talent de guitariste avec une nonchalance et une aisance presque prétentieuse et Kevin Quirion assure les premiers soli et les backing vocals comme personne. Glen Benton est possédé, suite à quelque rituel obscur sans doute. Les années passent mais ne semblent pas atteindre ce suppot de Satan dont la voix est particulièrement délectable ce soir. On sait qu'on en a pour une heure de messe noire alors on prend son temps pour apprécier chacun des titres anti-chrétiens qui nous sont servis sur un plateau d'argent. Les morceaux défilent mais personne ne fatigue, on en veut toujours plus. Le groupe a sélectionné et travaillé sa setlist, la plus grande partie de la carrière du groupe est représentée et les fans sont comblés d'entendre leurs hits préférés et les nouveaux futurs hymnes. Ce ne sera pas moins de 17 titres qui nous auront été proposé ce soir, de quoi passé une très bonne fin de soirée en compagnie des troubadours de Lucifer.
Setlist DEICIDE : Homage For Satan / Dead By Dawn / Once Upon A Cross / Scars Of The Crucifix / When Satan Rules His World / Serpents Of The Light / Save Your / Hang In Agony Until You're Dead / Conviction / Blame It On God / They Are The Children Of The Underworld / Witness Of Death / Desecration / Into The Darkness You Go / How Can You Call Yourself A God / Sacrifical Suicide / Lunatic Of God's Creation
Le concert se termine, les médiators et les baguettes sont offerts et des poignées de mains sont échangées avec le sourire. Le Cronos Metal Show est terminé et les fans sont aux anges (ndlr. Tiens, je croyais qu'il était question de Satan ce soir !!!). La salle se vide tout doucement. On boit une dernière bière et on se raconte à quel point ce qu'on vient de vivre était génial. La neige est bien tombée pendant le show et on comprend que le groupe ait quelque peu écourté sa setlist par rapport aux autres dates de la tournée. Quoiqu'il en soit, cette soirée fut mémorable, les groupes ont tous assuré, la qualité du son était excellente et le public était survolté. Satan était en Ardenne et il a mis une putain d'ambiance !
Report & Photos : Germain
Il y a un an jour pour jour sortait From The Past, le double album de MELTED SPACE. Pour fêter l'évènement Pierre Le Pape annonce la sortie du prochain EP pour le 24 Mai toujours chez Totentanz/Season of Mist.
Tracklist Between (2013) :
01. Return To The Land Of The Forgotten / 02. Dying Legend / 03. They Were Brothers / 04. Si Vis Pacem... / 05. ...Para bellum / 06. The Man With Two Faces / 07. Welcome To This World + Bonus tracks / 08. When I Was A God (acoustic version) / 09. Dante's Memory (acoustic version) / 10. War For The World (operatic mix)
SERENITY vient de publier son nouveau clip réalisé pour le titre "Wings Of Madness" extrait de l'album War Of Ages sorti récemment chez Napalm Records.