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SURTR - Départ de Jeff, Nouvel EP

Publié le par Nono666

SURTR (Doom Metal) vient d'annoncer le départ de Jeff Maurer (chant/guitare). Par ailleurs le groupe précise qu'il travaille sur un nouvel EP à paraitre début 2015 sur lequel apparaitront Christophe Lacroix (guitare - CALDERA) et Aymerick Lome (chant - FATHER MERRIN).

SURTR_New Logo

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LOUDBLAST - I Reach The Sun (Lyric vidéo)

Publié le par Nono666

LOUDBLAST vient de publier une lyric vidéo pour le titre "I Reach The Sun" extrait de son dernier album, Burial Ground, sorti chez Listenable Records.

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MOONLAND - Sortie album

Publié le par Nono666

MOONLAND est le nouveau projet de Lenna Kuurmaa (VANILLA NINJA). Un premier album éponyme verra le jour le 19 Septembre prochain via Frontiers Records.

MOONLAND feat Lenna Kuurmaa
 

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ALLEN / LANDE - Un nouvel album prochainement

Publié le par Nono666

Frontiers Records annonce la sortie d'un nouvel album d'ALLEN / LANDE intitulé The Great Divide. Cet album enregistré sous la direction de Timo Tolkki (Timo Tolkki's Avalon, ex-Stratovarius) verra le jour en Octobre 2014.

ALLEN-LANDE_The Great Divide

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SEPTICFLESH - The Great Mass

Publié le par Nono666

SEPTICFLESH – The Great Mass
Season Of Mist
Style : Atmospheric Death Metal
Origine : Grèce
Sortie : 2011
Site Web : www.septicflesh.com

SEPTICFLESH__The Great Mass



01. The Vampire From Nazareth / 02. A Great Mass Of Death / 03. Pyramid God / 04. Five-Pointed Star / 05. Oceans Of Grey / 06. The Undead Keep Dreaming / 07. Rising / 08. Apocalypse / 09. Mad Architect / 10. Therianthropy

Qui en 2007 aurait dit que les Grecs de SEPTICFLESH fraîchement reformés seraient en mesure de nous proposer un condensé de Death Metal atmosphérique et aux ambiances Mésopotamiennes bien ficelées ? Pas grand monde et pourtant, Communion est encore aujourd’hui un des albums les plus costauds dans la discographie du quartet qui revient avec The Great Mass, qui enfonce le clou et qui permet surtout au groupe de refouler les planches, endroit où il brille particulièrement de part l’intensité qu’ils impriment à leur set. SEPTICFLESH a réussi a se forger un son, une personnalité sur une base Death Metal très disparate sur lequel vient s’appliquer tout un tas d’ambiances, de chœurs aussi grandiloquents soient ils, donnent une dimension extraordinaire à une musique qui sait se faire brute et violente à l’image de la fin d’un "Oceans Of Grey" au début pourtant très ambiant ou encore le titre d’ouverture "The Vampire From Nazareth" et ses claviers virevoltants. Clairement assumée, la personnalité de SEPTICFLESH prend encore plus de dimension sur ce huitième album qui ne renferme pas vraiment de véritable single, de titre facilement mémorisable comme "Annubis" ou "Sunlight Moonlight" sur Communion, les parties atmosphériques intègrent totalement la musique du groupe et ce The Great Mass s’écoute en un bloc indissociable et bien fichu, le plus immédiat "Rising" permettant par exemple au public le moins averti de retoucher terre. Ceux qui suivent la carrière du groupe savent très bien que SEPTICFLESH ne sort pas d’album moyen et qu’une musique sans cesse en mouvement pour éviter de tourner en rond est le moteur qui alimente Sotiris, tête pensante de ce groupe, alors évidement que certains albums s’éloignent du Death Metal mais à chaque fois, SEPTICFLESH a fait mouche, et c’est de nouveau le cas avec The Great Mass qui n’a foncièrement pas les caractéristiques d’un album de Death qui puise son essence dans ce style. On regrettera toutefois que les ambiances aient régulièrement pris le dessus sur le reste à l’image d’un "Persepolis" sur l’album précédent, les morceaux fourmillent d’idées aux claviers, presque trop, brisant également la dynamique de l’album mais c’est là le seul défaut de cet album à l’artwork sublime.

Note: 8/10

Chronique : Aymerick Painless

 

SEPTICFLESH_Band 2011
 
 

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SEPTICFLESH - Titan

Publié le par Nono666

SEPTICFLESH – Titan
Season Of Mist
Style : Symphonic Extreme Metal
Origine : Grèce
Sortie : 2014
Site Web : www.septicflesh.com

SEPTICFLESH_Titan



01. War In Heaven / 02. Burn / 03. Order Of Dracul / 04. Prototype / 05. Dogma / 06. Prometheus / 07. Titan / 08. Confessions Of A Serial Killer / 09. Ground Zero / 10. The First Immortal

Trois ans, voilà ce qui semble être le temps normal de gestation chez les Grecs de SEPTICFLESH. Il faut dire que la musique s’est intensifiée dans son approche théâtrale, ce qui demande un peu de temps pour que tout soit en place. D’ailleurs, c’est encore le cas avec Titan, nouvel opus du groupe enregistré en Grèce et à Prague avec l’orchestre philarmonique de Prague mais surtout, et c’est là une nouveauté, Logan MADER en tant que producteur au mixage et au mastering. Alors, que les puristes auraient pu s’attendre à voir le son de SEPTICFLESH se tourner vers quelque chose de résolument plus moderne, il n’en est rien, à part quelques séquences saccadées que de toute façon Seth Siro Anton utilisait déjà auparavant. Non c’est bien dans l’utilisation des chœurs, des samples et des cordes que l’évolution est la plus notable et pourtant le groupe n’était déjà pas avare dans ce domaine sur ses derniers albums.  Les guitares se font toujours menaçantes, utilisant des riffs dissonants au rendu très Black Metal, bien suivi par une batterie impériale, mais savent aussi se faire plus mélancolique avec ces leads dont SEPTICFLESH a toujours eu le secret et que l’on retrouve sur un "Burn" décidément très surprenant. Ce titre intègre en effet la facette la plus Black et la plus Gothique du groupe avec des passages nous renvoyant vers Revolution DNA (1999) et ce Titan est bien à la croisée de ce qu’était le groupe à la fin des années 90 et ce qu’il est devenu après 2007 et son retour sur le devant de la scène, on y retrouve par exemple du chant clair, ainsi que sur plusieurs autres titres de cet album ("Dogma"). La grandiloquence dont fait preuve cet album n’aide toutefois pas à une immersion rapide, notamment pour les novices dans l’univers de SEPTICFLESH, très garni en couches diverses, il faut cependant souligner le travail remarquable de production, d’écriture et d’exécution, comme d’habitude depuis leur retour en 2007, ces aspects sont une fois de plus très soignés. L’approche orchestrale peut cependant paraitre un peu trop mise en avant, voilà un album au contenu très cinématographique, un titre comme "Order Of Dracul" en est un exemple criant, même si le groupe tente de conserver une certaine spontanéité et un côté direct, celui-ci ne s’exprime qu’à travers des blasts Black Metal alors que le groupe était capable auparavant de nous assommer la tête avec des riffs tueurs, notamment sur Communion. Titan marque tout de même le retour d’un groupe plus percutant, plus inspiré et qui a surtout mis les moyens de ses ambitions avec cet orchestre qui opère une nouvelle fois avec les Grecs mais surtout ces bardes de chœurs imposants, une dimension qui va malheureusement faire sonner SEPTICFLESH encore plus clinique et froid sur scène, mais nous jugerons cet aspect sur place. Bref, sans marquer les esprits autant que Communion avait pu le faire, certainement l’effet de surprise en moins, ce nouvel album voit un groupe revenir avec des intentions finalement assez brutales sous ses faux-airs de grandiloquence, la malsaine aristocratie mise en musique dont la voix démoniaque est parfaitement interprétée par les growls habités de Seth Siro Anton, des titres comme "Ground Zero", "Titan", "Dogma" ou "Prometheus" sont les plus remarquables, les autres peuvent souffrir de manque d’inspiration à l’image de l’ultime "The First Immortal" où les lignes de chant ne sont pas les plus inoubliables. Il faut tout de même reconnaitre que dans ce style, SEPTICFLESH n’a pas beaucoup de concurrence et qu’en plus, il s’applique toujours à être le meilleur.

Chronique : Aymerick Painless

7,5

 

 

SEPTICFLESH_Band 2014

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THE QUIREBOYS - Black Eyed Sons

Publié le par Nono666

THE QUIREBOYS - Black Eyed Sons
Off Yer Rocka Recordings
Style : Rock Bluesy
Origine : Royaume-Uni
Sortie : 2014
Site Web : www.quireboys.com

THE QUIREBOYS_Black Eyed Sons



01. Troublemaker (Black Eyed Son) / 02. What Do You Want From Me ? / 03. Julieanne / 04. Double Dealin' / 05. Stubborn Kinda Heart / 06. Lullaby Of London Town / 07. The Messenger / 08. You Never Can Tell / 09. Mothers Ruins / 10. Monte Cassino (Mothers Ruin)

Un an après la sortie de Beautiful Curse que j’avais particulièrement apprécié, revoilà THE QUIREBOYS pour son 8ème album Black Eyed Sons. Rien de bien nouveau à l’horizon mais pourquoi les Anglais changeraient-ils une formule qui fonctionne. La chose principale à retenir c’est que THE QUIREBOYS c’est du Rock Bluesy porté par une voix patinée au pur malt. La voix de Spike me fait immanquablement penser à celle de Rod Steward. J’ai écouté l’album une fois puis j’ai laissé passer plusieurs semaines avant d’y revenir pour vous proposer la chronique que vous êtes en train de lire. Et malgré le laps de temps, à la réécoute des chansons, je me suis surpris à les reconnaître immédiatement. Comme quoi ce groupe sait créer des compositions qui restent ancrées dans le crâne comme c’est le cas avec "Troublemaker", "What Do You Want From Me ?" et son riff de guitare (le single, un hit en puissance) ou encore "The Messenger" (j’aurais pu citer tous les titres tellement aucun n’est en dessous). C’est simple mais terriblement efficace. Des guitares Rock bluesy (voire acoustique sur les titres "Stubborn Kinda Heart", "Monte Cassino"), un orgue Hammond (ou un piano suivant les titres et les ambiances proposées), une rythmique basse/batterie (de musiciens de studio) basique apportant l’assise nécessaire aux mélodies vocales de Spike et à sa voix envoûtante. Au gré des compositions, Spike et sa bande nous transportent dans diverses atmosphères et ambiances, toujours légèrement enfumées et alcoolisées comme sur "Mothers Ruin". La durée de l’album (moins de 38 minutes), qui aurait été parfaite sur vinyl, se révèle être un peu courte sur CD. D’autant plus qu’on reste sur notre soif au vu du plaisir que l’on prend à sa délectation. Un p’tit dernier pour la route n’aurait pas été de refus. Quand on aime, on ne compte pas. Malgré ce léger désagrément, THE QUIREBOYS m’ont offert ma rasade annuelle donc je suis paré et prêt, je peux attendre la prochaine offrande. Et pour ceux qui auraient eu la bonne idée, après la lecture de ma chronique de Beautiful Curse (on peut toujours rêver), d’acheter ou d’écouter l’album, ils peuvent se jeter sur le cru 2014 les yeux fermés.

Chronique : Horace Pinker

8

 

 

THE QUIREBOYS__Band 2014
 

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CRUCIFIED BARBARA - In The Red

Publié le par Nono666

CRUCIFIED BARBARA publiera son quatrième album intitulé In The Red le 10 Septembre prochain via Despotz Records.

CRUCIFIED BARBARA_In The Red

Tracklist In The Red (2014) :
01. I Sell My Kids For Rock'N'Roll / 02. To Kill A Man / 03. Electric Sky / 04. The Ghost Inside / 05. Don't Call On Me / 06. In The Red / 07. Lunatic #1 / 08. Shadows / 09. Finders Keepers / 10. Do You Want Me / 11. Follow The Stream

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THRESHOLD - Détails nouvel album

Publié le par Nono666

Les Anglais de THRESHOLD (Progressive Metal) ont dévoilé l'artwork, la tracklist et la date de sortie de leur nouvel album. Le successeur de March Of Progress (2012) s'intitulera For The Journey et sera disponible le 19 Septembre prochain via Nuclear Blast. L'album a été produit par Karl Groom et Richard West au Thin Ice Studios en Angleterre et masterisé par Mika Jussila au Finnvox en Finlande.

THRESHOLD_For The Journey

Tracklist For The Journey (2014) :
01. Watchtower On The Moon / 02. Unforgiven / 03. The Box / 04. Turned To Dust / 05. Lost In Your Memory / 06. Autumn Red / 07. The Mystery Show / 08. Siren Sky / 09. I Wish I Could (Bonus digipak, vinyl and download versions) / 10. Lost In Your Memory (Acoustic Version - Bonus vinyl and download versions)

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TESLA - Simplicity

Publié le par Nono666

TESLA - Simplicity
Frontiers Records
Style : Hard Rock
Origine : Etats-Unis
Sortie : 2014
Site Web : www.teslatheband.com

TESLA_Simplicity



01. MP3 / 02. Ricochet / 03. Rise And Fall / 04. So Divine... / 05. Cross My Heart / 06. Honestly / 07. Flip Side ! / 08. Other Than Me / 09. Break Of Dawn / 10. Burnout To Fade / 11. Life Is A River / 12. Sympathy / 13. Time Bomb / 14. 'Til That Day / 15. Burnout To Fade (Démo Version)

Les Américains de Sacramento reviennent avec Simplicity six ans après Forever More. Il est bien sûr toujours question d'un Hard Rock basique mené par la voix particulière du chanteur Jeff Keith, un atout pour les fans mais pour les autres probablement une faiblesse. En effet, il faut s'habituer à cette voix éraillée de canard qui, heureusement, peut se comparer dans le meilleur des cas à Steven Tyler. Pour les compositions, rien de franchement mauvais mais en général un manque de profondeur qui nuit à la qualité de l'ensemble. Le titre d'ouverture, "MP3", démarrant par un crépitement rappelant le bon vieux vinyle enchainé par une bonne intro, ne captive pas plus que ça. "Ricochet", bien que plus percutant, grâce à son riff rappelant celui de "Falling In Love" sur l'abum Animal Magnetism de SCORPIONS, n'est pourtant pas beaucoup plus intéressant. Le mid-tempo "Rise And Fall" est plus riche mélodiquement et, de plus, possède un beau solo. La comparaison citée plus haut avec Steven Tyler devient des plus évidentes lors des couplets de "So divine..." qui, du coup, est un morceau qui se rapproche furieusement d'AEROSMITH. Bon titre et beau travail sur les solos de guitares encore une fois. "Cross My Heart", ballade bluesy avec piano, reste dans le style du groupe de Boston, pas déplaisant mais un refrain qui laisse sur sa faim. Après un autre mid-tempo sans prétention ("Honestly"), le rythme s'accélère avec le malgré tout moyen "Flip Side !", pour repartir avec une autre ballade ("Other Than Me") bien sympa car dotée (une fois n'est pas coutume) de belles mélodies. "Break Of Dawn", malgré des couplets pas terribles, s'en sort pas trop mal grâce à un pré-refrain assez inspiré et un solo travaillé. "Burn Out To Fade" est la meilleure ballade, "Life Is A River" n'étant pas si mal non plus mais un degré en dessous. "Sympathy" et son intro à la basse revient enfin vers le Hard Rock, mais hélas ne contient pas, une fois de plus, un refrain des plus réussis. "Time Bomb" poursuit dans l'assez insipide et laisse plutôt indifférent. On termine avec un énième ballade, "Til' That Day", mais on ne s'en plaindra pas vu qu'en général, ce sont les plus réussies de ce Simplicity... et celle-ci ne déroge pas à la règle. En conclusion, un ressentiment bien mitigé, l'ensemble ne décollant pas vraiment, et quand c'est le cas l'inspiration n’est pas au rendez-vous. De plus, la comparaison est parfois trop évidente avec AEROSMITH, ce qui démontre quand même un certain manque de personnalité. TESLA, à l'image d'HELIX dont Bastard Of The Blues est fraîchement sorti, ne fera pas encore partie cette année des groupes majeurs du Hard Rock.

Chronique : Renegade88

5,5

 

 

TESLA_Band 2014
 

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