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DEATH RIDES A HORSE - signe avec INFERNÖ RECORDS

Publié le par Nono666

DEATH RIDES A HORSE, groupe Danois de Doom/Sludge Metal emmené par une vocaliste vient de signer avec le label Français INFERNÖ RECORDS. Le groupe, qui trouve son inspiration dans les groupes de Heavy Metal des 70's, 80's et d'aujourd'hui comme BLACK SABBATH, SCORPIONS, ACCEPT, CROWBAR et HIGH ON FIRE, proposera une réédition de son EP, Tree Of Woe, originellement sorti en cassette chez DEADBANGERS PRODUCTION, en format CD avec des titres bonus. Cette réédition sera limitée à 500 exemplaires mais vous pouvez déjà vous attendre à un nouvel album en 2013 chez INFERNÖ RECORDS !!

 

DEATH RIDES A HORSE_Band
 

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CRADLE OF FILTH - Clip

Publié le par Nono666

CRADLE OF FILTH vient de publier un clip pour le titre "Frost On Her Pillow" issu de son nouvel album The Manticore And Other Horrors qui sortira le 31 Octobre via Peaceville Records.

 

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THERION - Live Report

Publié le par Nono666

THERION était en concert à Barakaldo (Espagne) le 6 Octobre dernier, Abigail Darktrisha vous a concocté un live report de ce concert qu'elle décrit comme "magique" ! Vous souhaitez en savoir plus, alors cliquez ICI .

 

THERION_European Tour 2012
 

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EVENING OF METAL - Live Report

Publié le par Nono666

Le report du EVENING OF METAL qui s'est tenu le 6 Octobre dernier à St Dizier est maintenant en ligne :::>>>ICI .

 

EVENING OF METAL 2012
 

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THERION - Barakaldo (Spain) - 6 Octobre 2012

Publié le par Nono666

 

THERION_European Tour 2012

 

THERION
Barakaldo (Spain) - RockStarLive - 06/10/12



Il m'arrive parfois de ne pas savoir par où commencer une chronique quand l'émotion dépasse la raison au point de faire 1000 kms de route en 24h pour assister à deux dates du groupe. En effet la claque prise par les Suédois lors du concert de Barakaldo m'enverra sur un coup de tête vers Toulouse dès le lendemain matin. Alors que le groupe exécute une tournée anniversaire afin de fêter ses 25 ans, c'est en même temps la tournée du dernier opus, qui peut être une forme d'hommage à la France de part des reprises de chansons françaises. Et c'est pour ma part avec cette date Espagnole située à Barakaldo que je vais découvrir cette tournée un peu particulière. Bien que le titre du dernier opus soit Les Fleurs du Mal, celui-ci n'a pas de rapport avec les œuvres du Poète sombre qu'était Baudelaire, mais est basé sur un concept de reprise de chansons Françaises variées et plus ou moins connues, avec des auteurs ou interprètes tel que Gainsbourg... En toute franchise il y a encore quelques jours je n'aurai jamais imaginé réellement apprécier cet album - et encore moins l'écouter en boucle - et curieuse de découvrir ces titres en live je me demandais bien quel allait être l'impact de ce côté-ci de la frontière. La magie de l'interprétation du groupe avec un excellent public dans une salle bien comble mais pas complète rendra ce moment parfait, j'économiserai ma plume en ce qui concerne les deux groupes qui ouvrent pour cette tournée...

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Le décor plutôt simple, surtout comparé à la mise en scène très théâtrale de la tournée précédente, ne laissait pas prévoir un concert si spectaculaire. Juste un back-drop au nom de THERION et un trio de micros installés dans le fond pour compléter les classiques clavier-guitares-batterie, mais finalement la qualité sonore additionnée de celle de l’interprétation se passera bien d'artifices supplémentaires. Les costumes portés par le groupe sont une nouvelle fois étudiés, et naviguent dans un style classique et "gentlemen" début du XIXième siècle entre l'uniforme de Vikström et le costume chapeau haut de forme de C. Johnsson.

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La formation de ce soir est composée également de la fille de Thomas, Linnéa Vikström, qui complètera le duo féminin avec un chant plus bas que celui de Lori. Pour le reste, Nalle Påhlsson à la basse, de retour après le passage intérimaire de Waldemar Sorychta, Johan Koleberg derrière les fûts, Christian Vidal à la seconde guitare, l’incontournable Christofer Johnsson sans qui le groupe n'existerait pas et - nouveauté - un surprenant révérant en soutane avec des dreads du nom de Stefan Jernstähl au clavier. L'arrivée sur l'extrait d'une des œuvres les plus connues de Carl Orff ("O Fortuna" de Carmina Burana) donnera le ton en terme de grandeur et de puissance pour la soirée entière.

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L'enchainement sur "Poupée de cire, Poupée de son" - chantée à l'origine par France Gall et écrite par Gainsbourg - aurait de quoi surprendre, mais c'est sans compter sur le lyrisme de la belle Lori Lewis qui interprètera ce titre d'une manière peu commune, digne, de mon avis personnel, des plus grandes cantatrices et bien supérieur à la plupart des chanteuses de ce même registre. Par rapport à la tournée précédente, je m'inquiétais un peu de la non présence du charismatique Snowy Shaw, mais très franchement celle-ci sera sera comblé par Thomas Vikström, qui pour le coup fera les deux voix, même si ce dernier ne monte pas autant dans les aigus de Snowy.

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Le groupe enchainera trois titres extraits de Sirius B et Deggial, qui nous plongeront dans le cœur des compositions typiques du groupe, entre beauté, puissance, noirceur et malsain. Le premier clou de ce concert sera la reprise d'un titre français "J'ai le mal de toi" de Betty Mars. Interprété par Thomas avec une voix profonde et puissante, le tout accompagné par les vocaux féminins sur le refrain. Un titre grandiose et magnifique à entendre par THERION en live, sans compter sur les paroles, car même si elles ne seront comprises que par quelques personnes présentes ce soir, certaines choses vont au-delà de la barrière de la langue.

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Les titres du concert seront exécutés devant un auditoire plus que complètement acquis à la cause, et le groupe développera une complicité avec son public au point de le saluer en langue Basque, chose plutôt rare pour les groupes si éloigné géographiquement, et qui signifie aussi que THERION sait exactement où nous sommes ce soir. Par ailleurs Christian Vidal reviendra faire les rappels habillé d'une chemise aux couleurs du Pays Basque et en sera applaudi par un public en folie. Public qui n'oubliera pas de donner de la voix tout au long de la prestation, que cela soit sur les titres électriques ou sur les superbes mélodies du semi-acoustique "Lemuria". Concert anniversaire oblige, la plupart des albums sont représentés avec un tiers issu de Sirius B et du dernier, et une moyenne de deux titres pour les autres albums.

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Comme à chaque concerts de THERION, les morceaux sont adaptés pour le live et prennent une dimension plus "directe". Des morceaux comme "Via Nocturna" avec sa longue introduction au clavier et "Rise of Sodom and Gomorrah" deviennent très puissants en live. Le côté "balades" du concert sera via les titres "Siren of The Wood" et la reprise "Une Fleur dans le Cœur", moments rendus intenses et portés par les superbes voix du groupe. Je regretterai juste que le titre "Je n'ai besoin que de tendresse" dont je trouve la reprise particulièrement sympa n'ait pas été joué.

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Les rappels seront composés des incontournables titres dont un "To Mega Therion" qui amènera cette soirée à l'apothéose. Mais avant les derniers titres, Christopher Johnsson nous expliquera dans un long discours comment afin de pouvoir financer le dernier album non soutenu par le label Nuclear Blast il a du aller faire lui-même un emprunt bancaire de 75 000 euros, et que tous les cds vendus au stand de merchandising servent donc à rembourser cet emprunt. Il en appellera au soutien de ses fans, et à la liberté des artistes.

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Et cette soirée magique se terminera pour nous avec une rencontre et session photos avec C. Johnsson, Thomas Vikström et Christian Vidal. En effet Christofer viendra rencontrer le public directement - mais alors vraiment directement - dès sa sortie de scène, sans même prendre le temps de se désaltérer, ce qui nous offrira l'occasion de boire une bière avec lui, et surtout d'apprécier l'homme en lui-même ainsi que Thomas et Christian qui se fera un plaisir de discuter avec nous en Castillan. Après ces deux heures de concerts intenses, et malgré leur fatigue apparente les membres resteront longtemps avec les fans, chose qui ne se reproduira pas de la même manière à Toulouse le lendemain où la magie et l’osmose avec le public ne sera pas la même malgré un concert parfait aussi et un public qui chantera "joyeux anniversaire THERION" à plusieurs reprises.

Il y a des concerts qui ne se décrivent pas, il y a des concerts qui se vivent. Il y a des soirées inoubliables et il y a les soirées magiques ... Ordo Draconis et Atri Adamantis ?

Set List : O Fortuna (Carl Orff) / Poupée de cire, Poupée de son (France Gall) / Son of the Sun / Via Nocturna / The Flight of the Lord of Flies / J'ai le mal de toi (Betty Mars) / Abraxas / Vanaheim / Lemuria Acoustic / Gothic Kabbalah / The Siren of the Woods / Ginnungagap / Land of Canaan / Wine of Aluqah / The Rise of Sodom and Gomorrah / The Khlysti Evangelist / Une Fleur dans le Cœur (Victoire Scott) / Son of the Staves of Time / Encore : The Wondrous World of Punt / The Blood of Kingu / Encore 2 : To Mega Therion


© Abigail Darktrisha
Remerciements : Olivier G. et Iris Bernotat

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EVENING OF METAL 2012

Publié le par Nono666

 

EVENING OF METAL 2012

 

EVENING OF METAL
Saint Dizier – 06 octobre 2012



Voilà plusieurs années qu’Heavy Sound couvre l’EVENING OF METAL, un festival organisé en octobre, mais l’an passé Yann, l’organisateur et chef d’une meute de passionnés, nous avait prévenus qu’il cherchait à faire évoluer son rendez-vous. Alors lorsque l’affiche tombe c’est un peu la stupéfaction car nous sommes partagés entre inquiétude et enthousiasme avec ONSLAUGHT, l’exclusivité française du combo Anglais, une légende du Thrash Metal qui avait réussi un retour fracassant avec The Sounds Of Violence et surtout dans leur sillage, c’est IZEGRIM et CRIPPER qui vont fouler la scène Bragarde. Cette fois c’est certain, l’EVENING OF METAL a changé de catégorie et la réponse du public se fait immédiate car si en nombre de personnes, ce n’est pas une explosion de la fréquentation mais c’est un public de connaisseurs qui est là ce soir, les jeunes amateurs de Metalcore ont laissé la place à des vestes à patches et l’ambiance va s’en faire sentir avec une ambiance que l’on a jamais vu à Saint Dizier.
 
Lorsque l’on arrive dans la salle, c’est DEATH DECLINE qui opère avec son dernier titre. Nous sommes en début de festival, le public est encore clairsemé et il regarde la prestation de loin, un accueil poli pour un groupe qui délivre un Metal moderne qui ne laisse pas une trace indélébile sur votre serviteur.

Déjà, le niveau monte d’un cran avec MEHTNAKRISS, un groupe de Besançon fondé en 2005 et déjà auteur d’un EP et d’un album, A Grey Moment (2011), emmené par le chanteur d’IN ARKADIA que l’on avait pu voir l’an passé sur cette même scène. Devant une audience encore timide, Alix, prend pourtant les premiers rangs à la gorge comme à son habitude avec une présence scénique de tous les instants. Quelques samples viennent habiller un Deathcore carré et bien exécuté d’où s’échappent quelques velléités plus old-school et surtout un feeling mélodique. Le groupe réussit petit à petit à chauffer la salle et c’est alors qu’Alix annonce que c’est ce soir le dernier concert du groupe, on sent une émotion particulière s’emparée des membres du groupe qui s’échangent quelques regards et sourires complices et le côté mélodique prend des allures mélancoliques lorsque déboule "Sink To Madness". Le groupe fait défiler les titres de son unique album en alternant les titres violents et catchy avec ceux plus mélodiques et posés. Un set bien carré auquel il ne manquait que la participation du public. Dommage, le groupe aurait mérité un meilleur accueil mais la scène Metal est remplie de groupes maudits…

MEHTNAKRISS_DSCN6432


THE ORDER OF APOLLYON représente le Metal extrême de cette nouvelle édition et c’est avec un line-up totalement remodelé autour de B.S.T., guitariste chanteur du groupe, que le quartet se présente sur scène. On reconnait là le chanteur de LIVARKAHIL, H.K., qui tient aujourd’hui la basse et d’autres acteurs de la scène Parisienne afin que l’Ordre d’Apollyon puisse donner sa dose de Black/Death Metal à un public plutôt habitué à ce genre de groupes sur les précédentes éditions du festival. Si comme tous les groupes de cette scène que sont SVART CROWN, OTARGOS ou LIVARKAHIL, le discours est bien mis en scène, la sauce a du mal à prendre ce soir, c’est que si la musique n’a rien de désagréable, elle n’a rien non plus de bien transcendant. Le groupe interprète The Flesh, l’unique album sorti en 2010 et qui devrait bientôt avoir un petit frère, les séances d’enregistrement étant déjà bien avancées. On retiendra les percutants "Never" et "White Dust" bien placés en milieu de set qui réveilleront un public encore sur la réserve. Le groupe n’a pas totalement convaincu ce soir mais comme tous les concerts donnés en plein processus de nouvel album, on pouvait s’y attendre, il est temps que THE ORDER OF APOLLYON nous propose du nouveau matériel pour retrouver l’envie d’en découdre sur scène.

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Après ces apéritifs qui servaient pourtant de tête d’affiche les années passées, il est temps de laisser place à CRIPPER, IZEGRIM et ONSLAUGHT, trois groupes en pleines tournée commune à travers l’Europe sur le point de s’achever. Comme pour bien montrer que l’EVENING OF METAL est monté d’une catégorie, c’est carrément la scène, les amplis et les lumières des trois groupes qui sont déployés sur la grande scène de la salle Aragon alors que le rideau qui servait de fond de scène s’ouvre. Le nombre de T-shirt de CRIPPER présent dans la salle était un indice mais ce qui va se passer là n’a tout simplement jamais eu lieu au EVENING, jamais le public n’aura réagi tel un seul homme comme il le fait pour CRIPPER. Il faut dire que la frontwoman harangue la foule en plus de faire preuve d’une présence scènique pleine de maitrise. La chanteuse utilise l’avancée de scène en contrebas pour venir regarder les Metalheads dans les yeux qui boivent ses paroles, la demoiselle sait user de son charme pour faire l’unanimité.

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Mais attention de ne pas réduire ce groupe à une simple chanteuse car la paire de guitariste est à la fête, c’est bien tout le groupe qui veut en découdre et le résultat est probant car si on pense très largement à ARCH ENEMY lors du show de CRIPPER, il y a une urgence, une dynamique qui est propre aux Allemands. CRIPPER défend son dernier album en date, Antagonist, sorti le 22 juin dernier et délivre un Thrash/Death qui prend des allures de grosse fiesta lorsque le groupe balance un "Fuck You" sur lequel tout le public participe avec le doigt bien levé. CRIPPER est sans aucun doute le vainqueur de cette soirée.

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En effet, lorsque IZEGRIM monte sur scène cela donne l’impression d’un cheveu sur la soupe, le public est encore en train de fumer, boire, bref vaquer à ses occupations. Résultat le début du show est bien timide, de même que la prestation de Marloes, la bassiste chanteuse qui semble presque mal à l’aise. Pourtant, le Death Metal des Néerlandais fait mouche avec ses parties down tempi qui n’est pas sans rappeler BOLT THROWER jusqu’à "Fuck Your Glorious Nation" où Marloes lâche sa basse pour se concentrer sur le chant, voilà le point de départ du show d’IZEGRIM qui arrive bien tard, dommage car le public est enfin entrer dans l’univers du groupe et il va déjà falloir laisser la place à ONSLAUGHT, une chose est sure, Marloes sait occuper la scène, elle l’a démontré mais la basse semble bien encombrante pour elle. Ceci dit, peut-être que dans des conditions autres qu'en festival comme ce soir, mais sur un concert d’IZEGRIM, la prestation façon rouleau compresseur et plutôt statique des Néerlandais prend une toute autre allure, une bonne prestation tout de même.

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Avec des changements de plateau très rapide qui n’ont pas du dépasser les 20 minutes, c’est très rapidement que l’on retrouve les Anglais d’ONSLAUGHT, maître de cérémonie ce soir et pour lequel le public est tout dédié. On va très vite s’en rendre compte puisque les titres du classique qu’est The Force (1986) tout comme ceux du petit dernier The Sounds Of Violence (2011), une leçon de Thrash Metal façon TESTAMENT, le public réagit au quart de tour. Ainsi "Metal Forces" ou "Flame Of The Antichrist" déclenchent des circle-pits tout comme "The Sounds Of Violence", le bassiste en demandant encore et encore à une assistance chauffée à blanc.

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La voix de Sy KEELER fait des merveilles, même si un très large écho soutient assez largement le chanteur, sa maitrise reste impressionnante et même sa gestuelle semble bien maitrisée. ONSLAUGHT donne son premier concert en France en 23 ans et même si on sent l’audience un peu fatiguée (ou en état d’ébriété très avancée) tout le monde jette ses dernières forces dans la bataille, c’est alors qu’Andy ROSSER monte sur les enceintes pour les rappels (qui n’en sont pas réellement puisque le public ne s’est pas montré plus insistant que ça pour que les Anglais reviennent sur scène, le seul faux pas de la soirée). ONSLAUGHT n’a pas déçu ceux qui ont su patienter plus de 20 ans pour voir ce groupe qui donne une signification au mot Thrash et les lettres de noblesse à ce style.

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Alors que TANKARD opérait à une heure de route de là (dans la région de Nancy), on pouvait craindre pour l’affluence de ce soir, il n’en a rien été, 2012 est clairement la meilleure édition du EVENING OF METAL et le meilleur reste à venir puisqu’il est question de le faire en plein air dès l’an prochain. Il est certain qu’avec une telle organisation, un son et des conditions de jeu au poil pour les groupes, une équipe au petit soin pour chacun entrant dans cette salle, on voit mal comment un groupe réputé pourrait refuser de venir jouer au EVENING dès l’année prochaine, il ne reste qu’à éduquer ce public Bragard qui ne rappelle pas les groupes aussi cultes soient-ils qu’ONSLAUGHT mais des progrès très forts ont été fait en un an puisque la salle était bien remplie pour la tête d’affiche, ce ne fut pas toujours le cas et les gars de NIGHTMARE s’en rappellent certainement. Chapeau bas, une nouvelle fois à tous ces fous qui croient et qui ont cru à cette aventure que l’on espère voir perdurer le plus possible, rendez-vous l’an prochain !

Texte & Photos : Aymerick Painless

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YNGWIE MALMSTEEN - Nouvel album

Publié le par Nono666

Le nouvel album d'YNGWIE MALMSTEEN intitulé Spell Bound sera disponible mondialement le 5 Decembre prochain via Rising Force Records.

 

YNGWIE MALMSTEEN
 

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ENSLAVED - Clip

Publié le par Nono666

ENSLAVED vient de publier un clip pour le titre "Thoughts Like Hammers" extrait du dernier album du groupe, RIITIIR, sorti fin septembre via Nuclear Blast.

 

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ILLDISPOSED - Sense The Darkness

Publié le par Nono666

ILLDISPOSED - Sense The Darkness
Massacre Records
Style : Death Metal
Origine : Danemark
Sortie : 2012
Site Web : www.illdisposed.dk

illdisposed_sense the darkness



01. Sense The Darkness / 02. Eyes Popping Out / 03. Time To Dominate / 04. Never Compromise / 05. Stop Running / 06. I Am Possessed / 07. Too Blind To See / 08. The Poison / 09. Another Kingdom Dead / 10. She's Undressed / 11. We Do This Alone / 12. War (Bonus Track) / 13. Desire (Bonus Track)

C’est avec une régularité exemplaire qu’ILLDISPOSED publie des albums depuis maintenant vingt ans. Voilà qui en impose, même si le grogneur Bo Summer est le seul rescapé depuis les débuts de la formation danoise. Onzième œuvre du groupe, Sense The Darkness reprend plus ou moins la « formule ILLDISPOSED », à savoir un Death Metal à la fois old school et mélodique, sonnant de façon massive et moderne. Une approche que l’on pourrait comparer, en schématisant un peu, à celle d’HYPOCRISY. Ne vous fiez pas au démarrage très IN FLAMES de l’ouverture éponyme du disque, la suite est bien loin des sucreries de Göteborg, que nous apprécions par ailleurs. Non, si ILLDISPOSED n’hésite pas à insuffler un certain groove et de la mélodie à son Death Metal, il reste fermement ancré dans l’impitoyable, continuant à asséner les coups de machette alors que son visage est déjà couvert de sang et de tripes ! Une impression renforcée par la grosse voix gutturale de Summer, un peu too much il est vrai (quelques effets sont manifestement de la partie). Ce chant n’est d’ailleurs pas étranger à l’impression de linéarité qui ressort à l’écoute du disque, surtout dans sa version treize titres incluant deux morceaux supplémentaires. Pour autant, impossible de ne pas reconnaître la qualité et l’efficacité de cet ensemble de compositions qui ne surprendra certes pas grand monde, mais qui transpire le savoir-faire.

Chronique par Morbid S.

Note : 7/10

 

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KISS - Destroyer (Resurrected)

Publié le par Nono666

KISS - Destroyer (Resurrected)
Universal Music

KISS_Destroyer [Resurrected]



01. Detroit Rock City / 02. King of the Night Time World / 03. God of Thunder / 04. Great Expectations / 05. Flaming Youth / 06. Sweet Pain / 07. Shout It Out Loud / 08. Beth / 09. Do You Love Me / 10. Rock 'n Roll Party / 11. Sweet Pain (Original Guitar Solo)

Sorti à l'origine en 1976, Destroyer est un album incontournable de la discographie de KISS. Produit par Bob EZRIN (qui fut le producteur de bon nombre d'album passés à la postérité, notamment The Wall de PINK FLOYD), ce dernier en propose aujourd'hui une version remasterisée qui n'apporte pas grand chose de neuf par rapport à l'original en dehors d'un artwork qui devait être l'image originale de l'album, et d'une version alternative de "Sweet Pain" en bonus avec le solo d'Ace FREHLEY. Le son, quoique "boosté" pour atteindre un volume sonore propre aux productions actuelles (remasterisation oblige), garde cependant certaines limites inhérentes à l'époque à laquelle Destroyer fut enregistré. L'album conserve donc son cachet vintage et ses compositions mythiques ("Detroit Rock City", "King of the Night Time World", "God of Thunder" ou encore "Shout It Out Loud"...), Destroyer reste de ces albums qui ont contribué à faire entrer KISS dans la légende et garde une place de choix dans la grande anthologie du Hard-Rock !

Chronique par Denix666

Note : 7,5/10

 

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