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SEVEN WITCHES - Rebirth

Publié le par Nono666

SEVEN WITCHES sortira son nouvel album intitulé Rebirth le 16 juillet prochain via le label FrostByte Media.

Tracklist Rebirth (2013) :
01. Man In The Mirror (Enemy Within) / 02. Claustrophobic (No Way Out) / 03. Nightmare Man / 04. Stand Or Fall / 05. Hang 'Em High / 06. True Blood / 07. Head First / 08. Rebirth / 09. Riders Of Doom / 10. Poison All The People

 

SEVEN WITCHES_Rebirth
 

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KROKUS - Clip Dög Song

Publié le par Nono666

Les vétérans Suisses de KROKUS vous proposent de découvrir leur nouveau clip réalisé pour le titre "Dög Song" issu de leur dernier opus Dirty Dynamite sorti en fevrier dernier.

 

 

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AMON AMARTH - Surtur Rising

Publié le par Nono666

AMON AMARTH - Surtur Rising
Metal Blade Records
Style : Melodic Viking Death Metal
Origine : Suède
Sortie : 2011
Site Web : www.amonamarth.com

AMON AMARTH_Surtur Rising



01. War Of The Gods / 02. Tock's Taunt - Loke's Treachery Part II / 03. Destroyer Of The Universe / 04. Slaves Of Fear / 05. Live Without Regrets / 06. The Last Stand Of Frej / 07. For Victory Or Death / 08. Wrath Of The Norsemen / 09. A Beast Am I / 10. Doom Over Dead Man / 11. Aerials (Bonus track - SOAD Cover)

Véritable machine à riffs et à hymnes Viking, AMON AMARTH est un groupe désormais bien huilé avec son rythme de croisière d'un album tous les 2 ans. Surtur Rising est déjà le huitième album des Suédois qui fêteront leurs 20 ans d'existence l'an prochain, pas étonnant que ce groupe soit devenu une valeur sure du Death mélodique à tendance Viking. AMON AMARTH ayant défini les lignes de son style il y a bien longtemps, ses dernières sorties commençaient sérieusement à tourner en rond sans pour autant être de mauvais albums, loin de là, l'effet de surprise ayant totalement disparu, l'évolution se trouvait essentiellement au niveau de la production qui a eu tendance à se faire de plus en plus propre pour finir, sur Twilight Of The Thunder God par porter préjudice à la musique du quintet. Il n'en fallait pas plus pour énerver nos bûcherons et c'est avec "War Of The Gods" que le groupe débute son récit sur Surtur, un personnage de la mythologie nordique, un titre direct et catchy qui renferme son lot de riffs guerriers mais aussi ses mélodies à la guitare lead qui pour le coup deviennent guillerettes et poursuivent la tendance des derniers opus du groupe dont c'était l'un des reproches courants et le groupe réédite cela sur "For Victory Or Death", un titre rythmé et catchy introduit par un clavier niais et guilleret qui donne l'impression d'entendre une version Death de "The Final Countdown" ou FREEDOM CALL faisant du Death Metal. Cependant, on doit accorder aux Suédois, un regain de forme tant sur la production que sur la composition avec un aspect Viking mis au second plan de temps en temps pour un Death Metal mélodique plus traditionnel comme sur le très mélodique "Live Without Regrets" et son feeling Heavy Metal, notamment dans les solos, ou le plus Rock'n'Roll dans l'esprit "Wrath Of The Norsemen" où Johan HEGG dévoile une voix encore plus gutturale pas très éloignée de celle de Chris BARNES (SIX FEET UNDER) qui tranche avec les habituelles cavalcades du groupe. Les titres mid tempo ont toutefois toujours droit de citer sur Surtur Rising, avec "Töck's Taunt - Loke's Treachery Part II", la suite conceptuelle de "Hermod's Ride To Hell" présent sur With Odin On Our Side, ou encore "Slaves Of Fear", ces morceaux sont l'occasion pour le groupe de se faire plus Heavy et plus grave. Et puis il y a cette fin d'album révélatrice du désir du groupe de sortir de la routine dans laquelle il s'était installé avec "A Best I Am" reléguant une nouvelle fois l'ambiance Viking au second plan et qui se termine sur un passage calme et mélodique aux guitares annonçant un "Doom Over Dead Man" orchestral et encore différent du standard d'AMON AMARTH, voilà une bonne surprise confirmée par les différentes reprises que l'on peut trouver sur les nombreuses versions de l'album (groupe à succès oblige) et notamment "Aerials" de SYSTEM OF A DOWN, pas forcément indispensable mais plus surprnante qu'une reprise de KISS ou ACCEPT que l'on imagine aisément dans le background du groupe. Surtur Rising devrait permettre à AMON AMARTH de se réconcilier avec une partie de ses die-hard fans, une réaction d'orgueil de la part de ces guerriers.

Chronique : Aymerick Painless

Note : 8/10

AMON AMARTH_Band 2011

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AMON AMARTH - Deceiver Of The Gods

Publié le par Nono666

AMON AMARTH - Deceiver Of The Gods
Metal Blade Records
Style : Viking Metal
Origine : Suède
Sortie : 2013
Site Web : www.amonamarth.com

AMON AMARTH_Deceiver Of The Gods



01. Deceiver Of The Gods / 02. As Loke Falls / 03. Father Of The Wolf / 04. Shape Shifter / 05. Under Siege / 06. Blood Eagle / 07. We Shall Destroy / 08. Hel / 09. Coming Of The Tide / 10. Warriors Of The North

Voilà un groupe que je n’ai réellement découvert qu’avec Surtur Rising, même si auparavant j’avais vu le groupe à de nombreuses reprises lors de festivals, je n’avais pas accroché. Mais j’ai absolument adoré le précédent album des suédois, aussi j’avais hâte de découvrir son successeur. Dès le titre éponyme qui ouvre l’album, je retrouve ce qui m’avait plu sur Surtur Rising, à savoir un Death Métal non dénué de mélodies où les refrains ont beaucoup d’accroche. C’est ce qui, pour moi, fait la différence. C’est puissant, ça riffe grave, le chant de Johan Hegg est varié, c’est d’une efficacité redoutable. "As Loke Falls" enfonce le clou avec son intro martial, suivi par un picking de guitare véritable fil conducteur de ce titre, et c’est parti pour une déferlante bien Thrash, une petite respiration en forme de break aux accents maidenien, et on repart avec un riff dévastateur à souhait. C’est bon et rudement efficace. Vraiment une entame d’album superbe. "Father Of The Wolf" avec ces petits passages de guitares en tierce, son break où les mélodies guitares et vocales se rejoignent. Rien à dire, on en redemande et on est servi immédiatement avec "Shape Shifter" qui déroule. J’avoue être assez admiratif de la façon dont Johan Hegg utilise sa voix gutturale qui est vraiment géniale. Voila c’est dit ! Mais où va-t-il chercher ces notes graves ? "Under Siege", ses parties de guitare plus Heavy et son riff en cavalcade, jusqu’au break de basse qui amène une mélodie de guitare plus aérienne. Tout est bon dans le cochon, ben là mon cochon, on s’régale ! Puis vient "Blood Eagle" et nos vikings nous assènent un assault dont ils ont le secret. Ca poutre, mais pour en revenir à des connotations plus navales (vu qu’il n’y a pas de poutres sur le pont d’un bateau) je dirais ça démate, ça enquille ou alors, et ceux qui ont fait de la voile, même sur des petites coques de noix, me comprendrons, ca fait l’effet de se prendre la baume en pleine tête… mais façon drakkar. Encore chancelant, "We Shall Destroy", le bien nommé, nous détruit. Globalement cette nouvelle invasion est un peu moins variée et subtile (si l’on peut utiliser cet adjectif pour qualifier la musique d’AMON AMARTH) que leur précédente campagne. Toutefois le titre "Hel" apportera son lot de nuances, notamment grâce ses choeurs aériens, l’apport d’un chant clair signé Messiah Marcolin (l'ex chanteur et fondateur de CANDLEMASS) et au duo (voix clair, voix gutturale) effectué ensemble avec Johan Hegg. "Coming Of The Tide" confirme l’impression globale que laisse cet album : IRON MAIDEN est une des influences d’AMON AMARTH. L’album se termine par un morceau plus long et plus épique, "Warriors Of The North", au thème de guitare simple mais efficacement tranchant et ciselé. Ce groupe est un véritable drakkar partant en conquête à chaque album et chaque brûlot est une razzia sans concession. Avec Deceiver Of The Gods, le groupe déferle une fois de plus, ravageant tout sur son passage. Et après s’être fait déchiqueter et éparpiller façon puzzle, en pur maso que nous sommes, on en redemande puisqu’on se remet la galette, histoire de voir si un coup de hâche nous aurait épargné.

Chronique : Horace Vikinker

Note : 8,5/10

 

AMON AMARTH_Band 2013
 

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BLACK OATH - Ov Qliphoth And Darkness

Publié le par Nono666

BLACK OATH – Ov Qliphoth And Darkness
I Hate Records
Style : Doom Metal
Origine : Italie
Sortie : 2013
Site Web : www.facebook.com/blackoath666

Black Oath_Ov Qliphoth And Darkness



01. Esbat (Lamiae Simagoge Pt.2) / 02. …For His Coming / 03. Sinful Waters / 04. Scent Of A Burning Witch / 05. Witch Night Curse / 06. Drakon, Its Shadow Upon Us / 07. Ov Qliphoth And Darkness / 08. …My Death

Les Italiens de BLACK OATH ont multiplié les apparitions discographiques depuis leur premier album The Third Aeon paru en 2011 et ils avaient même dévoilé un peu de ce deuxième album, Ov Qliphoth And Darkness à travers une démo deux titres parue en mars 2013. Avec un discours Heavy/Doom Metal voire Doom Metal plus classique, le groupe nous revient avec un album qui ravira les amateurs du genre. En effet, dès l’introduction dont le thème est repris ensuite sur "…For His Coming", on entre sur un territoire bien connu, du moins en apparence car en profondeur, les habitués du style relèveront de suite plusieurs éléments de personnalité forte de la part de BLACK OATH. La production d’abord, sèche comme un coup de trique sur les couilles, elle manque toutefois d’un peu de pêche et de mordant au niveau des guitares, et puis la batterie, tout comme le chant, sujet à discussion, on y reviendra, sont relégués en fond sonore. Bref, tout ceci ne nous empêche pas d’apprécier les très bons moments de cet album (après plusieurs écoutes qui permettront d’appréhender la production) dont on peut citer ce riff d’introduction de  "Witch Night Curse" aux relents de CANDLEMASS à peine dissimulés ou "Scent Of A Burning Witch", un excellent titre de Heavy/Doom certes classique mais très efficace. Car il y a sur cet album un point sur lequel chacun se fera son avis, il s’agit du chant, celui ci est très varié dans sa technique et si "Scent Of A Burning Witch" peut paraitre sur ce point assez banal pour du Heavy/Doom, le chant y permet d’avoir un point de repère parfois nécessaire. Non pas que les choix sur "Sinful Waters" par exemple soient mauvais, ils sont juste différents et peuvent nous amener sur des voix plus proche de la technique d’un KATATONIA ou d’un PARADISE LOST, pas désagréable mais pas totalement maitrisée de la part d’A.th, vocaliste du trio. Mises à part la production et le choix de certaines lignes mélodiques de chant, bien difficile de dire qu’Ov Qliphoth And Darkness est un mauvais album, il surprendra juste les amateurs purs et durs de Doom Metal, peu enclins à des prises de liberté avec certains codes bien établis. Esprits aventureux, ce deuxième opus devrait pouvoir vous entrainer vers d’autres horizons sans pour autant vous perdre en route car on reste tout de même dans un giron très Doom Metal.

Chronique : Aymerick Painless

Note : 7/10

BLACK OATH_Logo
 

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PRIME SINISTER - Clip I Can't Change

Publié le par Nono666

PRIME SINISTER a publié son nouveau clip réalisé pour le titre "I Can't Change".

 

 

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SATYRICON - Album éponyme

Publié le par Nono666

SATYRICON sortira son huitième album studio simplement intitulé Satyricon le 09 septembre prochain via Roadrunner Records. Vous pouvez découvrir l'artwork ci-dessous :

 

SATYRICON_Satyricon
 

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SUIDAKRA - Eternal Defiance

Publié le par Nono666

SUIDAKRA - Eternal Defiance
AFM Records
Style : Death Mélodique
Origine : Allemagne
Sortie : 2013
Site Web : www.suidakra.com

SUIDAKRA_Eternal Defiance



01. Storming The Walls / 02. Inner Sanctum / 03. Beneath The Red Eagle / 04. March Of Conquest / 05. Pair Dadeni / 06. The Mindsong / 07. Rage For Revenge / 08. Dragon's Head  / 09. Defiant Dreams / 10. Damnatio Memoriae

SUIDAKRA est de retour avec un nouvel album tout beau tout chaud sorti du four. Ca s'appelle Eternal Defiance et ça sort chez AFM Records (oui je sais c'est marqué au-dessus, mais un piqûre de rappel, ça ne fait jamais de mal). C'est déjà le onzième album du groupe en moins de 20 ans d'existance, ce qui est plus que soutenu comme rendement. Mais qu'est-ce que vaut Eternal Defiance quand on appuie sur "Play" ? Eh bien, il m'aura fallu de longues et nombreuses écoutes attentitves pour trouver de quoi... Non je déconne, cet album est une putain de tuerie !!!!! On commence avec une ambiance orageuse (oui ça fait cliché mais on kiffe quand même) avant de partir complètement en vrille avec l'intro instrumentale "Storming The Walls" qu'on penserait taillée pour une scène de bataille épique dans un film fantastique et qui vous file des frissons sur tout le corps. Vient ensuite le premier vrai titre de l'album "Inner Sanctum" qui donne au public ce qu'il attend : du Black/Death Metal mélodique abreuvé à l'heroic fantasy. SUIDAKRA est en très grande forme et se permet autant de changements de rythmes que d'explorations de nombreux territoires métalliques. Le son des guitares ferait d'ailleurs plus vite penser à un bon vieux groupe de Power Metal qu'à du Black/Death épique, mais les compositions rectifient le tir ainsi que la voix écorchée et torturée d'Akki. Un autre point positif est la présence subtile mais bien audible d'instruments classiques comme du violon, du violoncelle ou des cuivres. On aura d'ailleurs le plaisir de retrouver cette orchestration sur plusieurs autres morceaux dont le suivant : "Beneath The Red Eagle". Celui-ci commence plus doucement mais passe vite la seconde et nous apporte une autre surprise : du chant féminin. Je n'ai pas réussi à savoir à qui appartenait cette voix ennivrante, mais son charme de sirène opère tout de suite. Le mid-tempo général est très entraînant et je dirais même qu'il nous permet de bien prendre notre temps pour savourer les morceaux à leur juste valeur. Après plusieurs morceaux tout aussi savoureux, on marque une pause pour se ressourcer au pied du grand chêne dans la forêt au bord du petit ruisseau avec "The Mindsong", ballade accoustique à chant féminin qui vous fera oublier jusqu'à votre condition de mortel tant on semble transporter vers un monde beau et mystique. Je ne dévoile volontairement pas tout l'album (ce serait trop long) pour vous laisser le plaisir de le découvrir par vous-même, ça en vaut vraiment la peine. Je vous dirai juste que l'outro est elle aussi accoustique, épique et aussi savoureuse que le plus doux des desserts après le meilleur des repas de roi. Un album à acheter, à écouter en boucle et à partager avec ceux que vous aimez.

Chronique : Germain

Note : 8.5/10

 

SUIDAKRA_Band 2013
 

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SUIDAKRA - Book Of Dowth

Publié le par Nono666

SUIDAKRA – Book Of Dowth
AFM Records
Style : Folk Black Metal
Origine : Allemagne
Sortie : 2011
Site Web : www.suidakra.com

Suidakra_Book of Dowth



01. Over Nine Waves / 02. Dowth 2059 / 03. Battle-Cairns / 04. Biróg's Oath / 05. Mag Mell / 06. The Dark Mound / 07. Balor / 08. Stone Of The Seven Suns / 09. Fury Fomoraigh / 10. Otherworlds Collide

Après un Crogàcht certes classique mais loin d’être désagréable, SUIDAKRA a du recomposer avec la chute de SPV. Mais il en faut bien plus pour abattre ces Allemands, vaillants guerriers, véhiculant un Black Folk depuis 1994 et qui comptent bien, avec Book Of Dowth, venir vous enseigner quelques rudiments du style. Car SUIDAKRA reste SUIDAKRA et nous propose le même cocktail qu’en 2009, à savoir une musique Black mélodique avec des mélodies Celtes prononcées avec l’appui d’instruments Folk si nécessaire sur laquelle vient se plaquer la voix Black/Death d’Arkadius, pilier historique du groupe. Les très directs "Dowth 2059" et "Battle Cairns" débouchent sur une Power-ballade Folk "Biróg’s Oath" dominée par des voix féminines et un titre acoustique, "Mag Mell", qui prend des allures de BLIND GUARDIAN dans le genre ballade Folk. Pourtant on constate que ces titres sont moins inspirés que ceux de l’album précédent et que la production souffre de quelques lacunes (la voix sur "Dowth 2059" particulièrement, la batterie qui manque de relief). Il reste des bons moments et un "Balor" comme l’un des meilleurs, un titre entrainant et bien ficelé, plus jouissif que "Stone Of Seven Suns" par exemple qui vire happy Metal, un double visage comme KORPIKLÄÄNI en fait. Les fans purs et durs du groupe se raviront de la promptitude des Allemands à enchainer les albums mais on ne peut s’empêcher de remarquer un niveau plus faible sur ce Book Of Dowth à l’artwork plus sombre que son prédécesseur mais au contenu tellement plus lumineux, le groupe se familiarise un peu pour le grand public Folk.

Chronique : Aymerick Painless

Note : 6.5/10

 

SUIDAKRA_Band 2011
 

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QUEENSRYCHE - Dedicaced To Chaos

Publié le par Nono666

QUEENSRYCHE - Dedicaced To Chaos
Roadrunner Records
Style : Progressive Metal
Origine : Etats-Unis
Sortie : 2011
Site Web : www.queensryche.com

QUEENSRYCHE_Dedicaced To Chaos



01. Get Started / 02. Hot Spot Junkie / 03. Got It Bad / 04. Higher / 05. Wot We Do / 06. Around The World / 07. Drive / 08. At The Edge / 09. I Take You / 10. Retail Therapy / 11. The Lie / 12. Big Noize

Il y a bien longtemps que QUEENSRYCHE ne nous a plus vraiment enthousiasmé, qu'il parait loin le temps des excellents The Warning, Rage For Order, Empire ou Operation Mindcrime, une époque qui semble bel et bien révolue... En 2009, American Soldier remettait néanmoins QUEENSRYCHE sur de bons rails avec un album intéressant et efficace qui nous laissait espérer pour l'avenir... En cette année 2011, année des 30 ans du RYCHE, les Américains nous reviennent avec un Dedicaced To Chaos de bonne tenue, certes encore éloigné des années fastes du groupe, mais se voulant plus direct et varié. Si l'on devait comparer ce nouvel opus, Dedicaced To Chaos serait à rapprocher de l'ère Q2K avec cette touche de modernité bien présente ("Get Started", "Wot We Do"). On pense également à Hear In The Now Frontier ("Big Noize"), le tout saupoudré d'un léger soupçon d'Empire et de Promised Land. QUEENSRYCHE n'hésite pas à innover, c'est notamment le cas avec "Wot We Do" aux forts accents Jazzy ou "Around The World" carrément Pop... pas sûr que ça plaise à tous mais le groupe prouve que même après 30 ans de carrière, il est encore capable d'expérimenter et de surprendre. Pour le reste, la production signée Kelly Gray, ex-guitariste du RYCHE, est puissante et claire, les arrangements sont comme toujours soignés et l'inspiration est bel et bien au rendez-vous... Un album plutôt sympathique qui devrait rassurer les fans quant à la forme actuelle du combo de Seattle.

Chronique : Nono666

Note : 6,5/10

 

QUEENSRYCHE_Band 2011
 

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