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METAL INQUISITOR - Ultima Ratio Regis

Publié le par Nono666

METAL INQUISITOR - Ultima Ratio Regis
Massacre Records
Style : Heavy Metal
Origine : Allemagne
Sortie : 2014
Site Web : www.metalinquisitor.de

METAL INQUISITOR_Ultima Ratio Regis



01. Confession Saves Blood / 02. Burn Them All / 03. Call The Banners / 04. Black Desert Demon / 05. Bounded Surface / 06. Death On Demand / 07. Self-Denial / 08. Servant Of State / 09. The Pale Messengers / 10. Second Peace Of Thorn

Quatrième album pour les Allemands de METAL INQUISITOR qui, depuis une bonne quinzaine d'années, n'ont eu de cesse de nous distiller un Heavy Metal de tradition de fort bonne facture, et ce n'est pas ce Ultima Ratio Regis qui va changer la donne. METAL INQUISITOR exécute un Metal simple, classique et direct délicieusement old school, mélangeant habilement Heavy, Speed et certaines influences typiques de la NWOBHM qui vous ramèneront vers les premières heures de groupes comme JUDAS PRIEST ("Black Desert Demon"), SAXON ("Servant Of State") ou RUNNING WILD ("Call The Banners")... Rien de révolutionnaire, vous l'aurez compris, mais ce classicisme assumé apporte un certain charme à un album peut-être pas indispensable mais bien sympathique tout de même... Depuis son premier album, The Apparition, sorti en 2002, METAL INQUISITOR n'a pas ménagé ses efforts, nous offrant à chacune de ses sorties un album un cran au dessus de son prédécésseur, et cette constante de qualité se ressent à nouveau sur ce Ultima Ratio Regis qui est sans aucun doute l'album le plus solide des Teutons à ce jour. Un achat recommandé pour tout amateur de Heavy traditionnel qui se respecte.

Chronique : Nono666

8

 

 

METAL INQUISITOR_Band 2014
 

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ROGASH - Supremacy Undone

Publié le par Nono666

ROGASH – Supremacy Undone
War Anthem Records
Style : Death Metal
Origine : Allemagne
Sortie : 2014
Site Web : www.facebook.com/rogashmetal

ROGASH_Supremacy Undone



01. Despise / 02. Desolate / 03. Less Emotion / 04. Forsaken / 05. Constant Calamity / 06. I, Voracity / 07. Spearheaded / 08. Soulrust / 09. Bloodgates Rising / 10. Gattung Mensch / 11. Apprehensious Edge / 12. Kingdom Of Grief / 13. Rogan Abomination / 14. Asunder

Formé en 2009, le groupe Allemand ROGASH publie rapidement un premier EP autoproduit avant de disparaitre quelque peu dans les méandres de l’underground. En 2014, le premier album du groupe voit enfin le jour, non sans avoir dû remanier son line-up dans l’intervalle. Résultat, si vous vous êtes penché sur ces Allemands en 2010, vous ne serez pas bien dépaysés en redécouvrant deux titres des 5 qui composaient alors le EP Rogan Era ("I, Voracity" et "Soulrust"). Le propos du groupe est assez classique en terme de Death Metal, on y retrouve des influences appuyées à VADER avec cette capacité à faire sonner ce Death Metal old-school mais aussi à le faire varier comme les Polonais l’ont fait plus récemment à l’image d’un "Apprehensious Edge" plus mid-tempo et surtout plus porté sur l’ambiance que sur le côté rageur du style. La voix linéaire et caverneuse d’Erik est bien contrebalancée par cette capacité à se renouveler d’un titre à l’autre, proposant quelques beaux leads ("Rogan Abomination", "Less Emotion") mais aussi son lot de Death direct et sans concession avec "Desolate" ou "Constant Calamity". On retrouve également en milieu d’album certaines intonations à la INCANTATION mais aussi une certaine lourdeur à la IMMOLATION, ROGASH n’est donc pas ce que l’on pourrait appeler un groupe de suiveurs et réussit à proposer une lecture assez personnelle du style malgré quelques maladresses sans grandes conséquences dont la plus préjudiciable pourrait être "Despise", une introduction bateau qui sent surtout le renfermé du studio et qui manque terriblement de vie mais rater 50 secondes d’un album de 14 titres, soyons compréhensif pour ce premier album qui a toutefois eu le temps d’être peaufiné. On passera rapidement sur l’artwork de cet album qui ne renvoie pas tout à fait la même image que la musique, un brin kitsch, dommage. Il n’empêche que ROGASH n’aura pas de mal à s’imposer auprès des amateurs de Death Metal, les purs et durs.

Chronique : Aymerick Painless

7

 

 

ROGASH_Band 2013
 

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STEEL PROPHET - Omniscient

Publié le par Nono666

Après une pause de 10 ans, STEEL PROPHET effectuera son retour discographique avec Omniscient, un concept-album dont la sortie est prévue en Juin prochain via Pure Steel Records.

Tracklist Omniscient (2014) :
01. Chariots Of The Gods / 02. The Tree Of Knowledge / 03. When I Remake The World (A Key Flaw) / 04. 911 / 05. Trickery Of The Scourge / 06. Through Time And Space / 07. Aliens, Spaceships And Richard M. Nixon / 08. Oleander Deux / 09. 666 Is Everywhere (The Heavy Metal Blues) / 10. Bohemian Rhapsody / 11. Call Of Katahdin / 12. Funeral For Art / 13. 1984 (George Orwell Is Rolling In His Grave) / 14. Transformation Staircase

 

STEEL PROPHET_Omniscient
 

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AkromA - Simon (Clip)

Publié le par Nono666

Les Français d'AkromA (Symphonic Extreme Metal) publieront leur troisième album, La Cène, le 24 Mars prochain via le label Fantai'Zic. Le groupe vient de dévoiler son nouveau clip réalisé pour le titre "Simon"...

 

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RIVAL SONS - Détails nouvel album

Publié le par Nono666

RIVAL SONS (Hard Rock/Blues) sortiront leur nouvel album intitulé Great Western Valkyrie le 6 Juin 2014 via Earache Records.

 

RIVAL SONS_Great Western Valkyrie
 

Tracklist Great Western Valkyrie (2014) :
01. Electric Man / 02. Good Luck / 03. Secret / 04. Play The Fool / 05. Good Things / 06. Open My Eyes / 07. Rich And The Poor / 08. Belle Starr / 09. Where I've Been / 10. Destination On Course

 

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DEAFENING SILENCE - Scapegoat Of Ignorance

Publié le par Nono666

DEAFENING SILENCE - Scapegoat Of Ignorance
Brennus Music
Style : Heavy Speed Metal
Origine : France
Sortie : 2014
Site Web : www.deafeningsilence.fr

DEAFENING SILENCE_Scapegoat Of Ignorance



01. The Call / 02. Death Squads / 03. Under Siege / 04. Of Iron And Fire / 05. Carved In Stone / 06. The Last Stand / 07. Soldiers Of Fortune / 08. Dereliction Of Duty / 09. Farewell / 10. Epitaph

Dans cette production, ce qui me frappe en premier c’est le son que je trouve vraiment bon, surtout pour une autoproduction. On entend et distingue vraiment bien tous les instruments. Ensuite, et malheureusement c’est encore le cas de nombreuses réalisations françaises, c’est la voix. Non pas qu’elle soit désagréable mais il manque un je-ne-sais-quoi pour la rendre complètement efficace, et sur la longueur, c’est ce qui va me déranger dans cet album. Et ce ressenti m’apparaît dès le second titre. Peut-être aussi le fait qu’elle soit mixée un chouille trop en avant, à mon gout, par rapport à la musique.  Quoi qu’il en soit Scapegoat Of Ignorance est le troisième album des Lorrains de DEAFENING SILENCE, faisant suite à Backlash sorti en 2007 et Edge Of Life en 2003. La trame de cet album conceptuel nous est suggérée par la très belle cover : c’est la première guerre mondiale, et plus particulièrement les soldats qui ont été fusillés pour l’exemple pendant celle-ci. L’intro de "Of Iron And Fire" et les "bruitages" confirment mon propos. Sur ce titre le groupe lâche les chevaux et nous entraîne grâce à un rythme des plus soutenus. Par contre je n’ai jamais été hyper fan des vocaux criards comme peut les utiliser sur ce titre Nicolas Griette, le vocaliste du groupe. Nous parlons juste ici de gout personnel car Nicolas maitrise vraiment bien sa voix et fait du bon boulot. Avec "The Last Stand", le quintet se lance dans un titre épique, varié, de plus de 13 minutes. Après une intro bien maîtrisée guitare acoustique/voix, cette dernière s’envole avec l’entrée de la section rythmique. Malgré les variations de cette composition, celle-ci reste trop monotone et les différents plans semblent plus collés les uns aux autres qu’évoluant dans une même cohésion afin de servir la chanson. N’est pas IRON MAIDEN qui veut. "Dereliction Of Duty" nous ramène vers un titre plus traditionnel bien efficace, certainement l’un des plus réussis de l’album, même si je pense qu’il aurait gagné en efficacité en étant moins long. De très bonnes idées dans cette réalisation mais aussi encore pas mal d’imperfections, de petits détails qui en font un album pas complètement abouti. Certains diront peut-être que je ne soutiens pas assez la scène française mais je pense que ce n’est pas faire évoluer les groupes que de ne pas les critiquer constructivement.

Chronique : Horace Pinker

6,5

 

 

DEAFENING SILENCE_Band
 

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PRETTY WILD - Pretty Wild

Publié le par Nono666

PRETTY WILD - Pretty Wild
Dead End Exit Records
Style : Hard Rock/Glam
Origine : Suède
Sortie : 2014
Site Web : www.prettywildband.com

PRETTY WILD_Pretty Wild



01. Are U Ready / 02. Get It On / 03. Troubled Water / 04. All I Want / 05. Alive / 06. Staring At The Sun / 07. High Enough / 08. Ready To Go / 09. Wildheart / 10. Vampire / 11. Blow The Night / 12. Come Out Tonight / 13. Hold On / 14. Pretty Wild

Ce n'est plus un secret pour personne, la Suède regorge de groupes prometteurs et ce n'est pas PRETTY WILD qui va nous faire mentir. En effet ce groupe formé en 2006 a dans un premier temps sorti un EP, All The Way, en 2009, puis s'est rodé sur la route, effectuant une bonne centaine de concerts (ils ne choment pas ces nordiques !), il était donc maintenant temps pour que nos Suédois nous reviennent avec un premier véritable album. Signé sur le label Dead End Exit Records, PRETTY WILD nous envoient 14 titres dont 2 ballades ("All I Want" et "High Enough"), mais aussi des morceaux plus rentre–dedans comme ce "Staring At The Sun" énergique et efficace. Le groupe nous propose un Hard Rock teinté de Glam Rock mélodique très typé années 80, tant au niveau du style que du son, les bougres ont dû écouter en boucle les vieux vinyls de leurs pères... Le chant, pas toujours évident dans ce registre, est très bien maitrisé par Ivan Ivve HÖGLUND, la section rythmique composé de Kim CHEVELLE (basse) et Johnny BENSON (batterie) assure parfaitement, sans oublier toutes les parties guitares (rythmique et solo) d'Axl LUDWIG qui n’est, lui non plus, pas en manque d’inspiration, loin de là... Si vous êtes fan de groupes tels que TREAT, STEELHEART, DANGER DANGER, HEAVENS EDGE ou plus récemment RECKLESS LOVE, n’hésitez pas, foncez vous procurer cet album vraiment excellent.

Chronique : CeD

8,5

 

 

PRETTY WILD_Band+Logo
 

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GAZPACHO - The Wizard Of Altai Mountain (Clip)

Publié le par Nono666

GAZPACHO a publié le clip du titre "The Wizard Of Altai Mountain", extrait de son huitième album, Demon.

 

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THE AGONIST - Identité de la nouvelle chanteuse

Publié le par Nono666

Suite au départ d'Alissa White Gluz pour ARCH ENEMY, THE AGONIST a dévoilé le nom de sa nouvelle chanteuse, il s'agit de Vicky Psarakis.

 

THE AGONIST_Vicky Psarakis
 

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CONVENTION ROCK N\' METAL - Fismes - 2 Mars 2014

Publié le par Nono666

CONVENTION ROCK N METAL FISMES 2014

 

17ème CONVENTION ROCK'N'METAL
Fismes - Salle des Fêtes - 2 Mars 2014



Tous les metalheads de la région le savent, le premier dimanche de mars est sacré. Non, ce n'est pas le jour du seigneur ! C'est celui des concerts de nouveaux talents locaux ou de valeurs sûres, de la quête de disques que l'on cherche depuis des années, des copains et - pas la peine de se mentir - de quelques bières fraîches ! Tel est l'esprit défendu par Underground Investigation et sa convention Rock n' Metal annuelle qui a lieu à Fismes (51). Après une rapide installation de notre camp de base et le café de rigueur, nous voici fins prêts pour cette nouvelle journée-marathon !

C'est KRAHENN qui a la lourde tâche d’inaugurer la scène, sachant que le public est encore très épars et principalement constitué des exposants. Le quatuor picard ne se démonte pas et, posté au plus prés du bord de scène, délivre un Death Metal écrasant mais non dénué de modernité grâce à un groove clinique et quelques mélodies bien placées. Il ne fait aucun doute que la formation est en place et les growls de Nico sont assez impressionnants. Les morceaux sont enchaînés sans temps morts afin de ne pas laisser retomber la pression. Avec un soupçon d'assurance supplémentaire, voici une formation à même de faire des dégâts considérables, dans le bon sens du terme. Cette bonne découverte nous a donné l'occasion de nous pencher sur l'unique album de KRAHENN, Death Metal Unit (2011), dont nous ne manquerons pas de vous parler sous peu.

Beaucoup plus suivie par le public est la prestation de RIZZER. Mais le Hardcore / Metal du combo ardennais ne nous touche pas davantage que lors de nos précédentes rencontres, d'autant que celui-ci n'est pas toujours très en place. A noter une reprise du "Refuse / Resist" de SEPULTURA qui fait monter la température d'un cran dans la salle, même si cette cover ne convainc pas outre mesure. Plus insolite une version revue et corrigée du tube disco "Born to be Alive".

Retour en Picardie avec ALTERED BEAST, un combo de speed metal « à l'ancienne » qui existe maintenant depuis dix ans, bien que l'expérience de ses musiciens dépasse largement ce cadre. Et cela se voit (et s'entend !). Malheureusement, le son est un peu brouillon, mais nous passons un bon moment, notamment grâce au chanteur FLH qui n'a pas son pareil pour chauffer le public (avec des interventions parfois too much, il faut bien l'avouer...). Pas de doute, ALTERED BEAST est bien plus percutant sur scène qu'en studio, et le public ne s'y trompe pas en participant énergiquement. Un bon concert qui nous aura également permis de découvrir deux nouveaux titres prometteurs.

Setlist : Vibration / The Madness / All I Want Is Sex With You / Living For The Sin / Single Barrel / Final Assault / Fright Night / The Vice

 

ALTERED BEAST5



Après DEPRAVED l'an dernier, c'est au tour de l'autre valeur sûre nancéenne qu'est MORTUARY de venir écorcher les tympans de ce public plus à l'aise avec le Metal traditionnel qu'avec ce gros Death des familles. MORTUARY sur scène c'est toujours l'assurance d'une belle baffe, et le combo, malgré quelques soucis de guitare, ne faillit pas à sa réputation ! Patrick, le hurleur en chef, souligne que le groupe fête cette année ses 25 ans (!), et n'oublie pas d'avoir un petit mot sympa pour RANKKEN qui devait se produire juste avant, mais a dû annuler sa prestation. De la même manière le plus ancien "Organ" sera dédicacé à Sylvain d’Underground Investigation pour son soutien de longue date. Bref, MORTUARY, même si on l'a parfois connu plus subtil selon les line-up et les époques, « fait bien le boulot » et se voit récompensé par un public assez enthousiaste. Comme quoi, le fait d'être en décalage sur une affiche peut aussi avoir du bon.

Setlist : Ghyste Mortua (S.O.U.L. Part I) / G.O.D. / The Memory Erasing Dreams / Cubikophrenic Delirium / Organ / Yesterdead (nouveau morceau) / Televiolence / Negative / E.N.D. (Evolution Through Dead-End)

 

MORTUARY14



Et c'est justement ce décalage qui va nuire à la performance de SCHERZO, du moins à nos yeux, car le public ne semble pas se détourner de la scène. Déjà, les claviers mixés trop forts en début de concert placent cette prestation sur des rails un brin kitch. Cela s'arrange ensuite et, bien sûr, le Heavy mélodique de SCHERZO est loin d'être désagréable, d'autant que le groupe se montre assez pro. Mais il manque définitivement un petit quelque chose à ce concert trop lisse, notamment un soupçon d'assurance de la part de son chanteur. Dommage, mais encore une fois, cela n'engage que nous.

C'est ensuite au tour de GANG de prendre d'assaut la scène avec l'enthousiasme qu'on lui connaît. "All The Fool Around" fonctionne très bien en ouverture de show et quelques morceaux plus speed sont dégainés ensuite afin de dynamiser le set. Un bon concert, mais nous avons déjà connu ambiance plus chaude lorsque GANG est sur scène. Les gigs se suivent et ne se ressemblent pas et c'est tant mieux, car nous n'aurons que plus de plaisir à retrouver nos cinq compères lors du Delirium Fest le 5 avril, ainsi que le 9 mai au Lezard'Os Metal Fest.

 

GANG6



Place ensuite à la claque de la journée avec le groupe nordique ZOE qui va placer la barre très, mais alors très haut. Forts d'une expérience de près de 17 ans, ce quatuor déploie sur scène une énergie assez incroyable, au son d'un Heavy Rock plus que puissant. Reprenant à son compte nombre de gimmicks imparables et ici largement maîtrisés (guitariste qui joue au sein du public, morceau interrompu le temps de faire réagir l'assistance, etc.), le combo a tôt fait de se mettre le public dans la poche. Tout y est, et plus encore ! Chaque morceau sonne comme un tube, et il est indéniable qu'à l'heure des BUKOWSKI ou autres HEADCHARGER, ZOE mérite sa part du gâteau ! Et il s'en donne les moyens, regardez donc la liste des concerts à venir sur sa page Bandcamp !

Loin de se défiler après un tel ouragan, DYGITALS prend d'assaut la scène avec énergie.  Le combo originaire d’Île de France fête ses 30 ans (certes pourfendus d'un long break) et, là encore, on sent tout de suite l'expérience des bonhommes au fil d'un répertoire lorgnant tantôt vers le Hard Rock, tantôt vers le Heavy classique, à la manière d'un ACCEPT ou d'un SAXON par exemple. Du classique, mais du solide, mené par un frontman (Hervé Traisnel) très impliqué.

 

DYGITALS13



Et les concerts de se conclure avec le rock éclectique et orienté 70's de BROKEN FINGAZ (NATCHEZ, prévu initialement, a du déclarer forfait). Formé de musiciens connus dans la région (NATCHEZ, TUCKER...), ce groupe offre un concert décontracté et plutôt rafraîchissant. Certains spectateurs (certainement tenus par un long trajet retour à effectuer – nous connaissons bien le sujet...) ont déjà commencé à quitter les lieux et on ne peut pas dire que l'ambiance soit délirante, mais BROKEN FINGAZ recueille tout de même l'adhésion grâce à son professionnalisme et sa sympathie. Et, si nous maîtrisons moins ce répertoire assez éloigné du Metal pur et dur, il nous a semblé reconnaître quelques reprises fort agréables. Savoureux, même s'il aurait peut-être été plus judicieux de placer ZOE sur ce créneau.

A l'arrivée, ce n'est pas encore cette année que nous repartirons déçus de cette journée, devenue une institution pour nombre d'entre nous ! Et malgré la défection de quelques groupes, le bilan est plus que positif. D'autant que le public s'est déplacé en nombre, même si certaines éditions précédentes ont été plus fréquentées (et d'autres moins). Avec la première édition du Lezard'Os Metal Fest qui se profile en mai, on peut dire les metalleux champenois (et alentours) sont gâtés !

Report : Morbid S.
Photos : Aymerick Painless

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