AMORPHIS sortira son nouvel album intitulé Under The Red Cloud le 4 Septembre prochain via Nuclear Blast.
Tracklist Under The Red Cloud (2015) :
01. Under The Red Cloud / 02. The Four Wise Ones / 03. Bad Blood / 04. The Skull / 05. Death Of A King / 06. Sacrifice / 07. Dark Path / 08. Enemy At The Gates / 09. Tree Of Ages / 10. White Night / 11. Come The Spring (Bonus Track - Digipak & 2LP) / 12. Winter’s Sleep (Bonus Track - Digipak & 2LP)
LEAVES'EYES a dévoilé le titre et l'artwork de leur nouvel album, il s'intitulera King Of Kings et il sortira en septembre 2015 via AFM Records. King Of Kings a été produit par Alexander Krull au Mastersound Studio, et l'artwork est signé Stefan Heilemann (Lindemann, Nightwish, Epica, Kamelot).
Les thrashers suèdois de RAISE HELL sortiront leur nouvel album intitulé Written In Blood le 21 Août prochain via Black Lodge Records.
Tracklist Written In Blood (2015) :
01. Dr. Death / 02. Six Feet Under / 03. Fallen Domination / 04. Demon Mind / 05. A Blackened Resurrection / 06. The Bell Of The Reaper / 07. We Arise / 08. Thank You God / 09. In Cold Blood / 10. Final Hour
Les Lyonnais de ASHES AND GLITTER (Doom émancipatoire) sortent leur premier EP, Welcome, où leur Doom Metal se nourrit d'influences diverses et variées. Les 6 titres composant ce premier cauchemar sont disponibles en streaming à cette adresse .
Tracklist Welcome (2015) :
01. A Vulture's Feast / 02. Break The Prism / 03. A Fall Of Decay / 04. Swine Pride / 05. Present From The Devil / 06. Horror Show
GORGOROTH - Quantos Possunt Ad Satanitatem Trahunt Regain Records
Style : Black Metal
Origine : Norvège
Sortie : 2009
Site Web : www.gorgoroth.info
01. Aneuthanasia / 02. Prayer / 03. Rebirth / 04. Building A Man / 05. New Breed / 06. Cleansing Fire / 07. Human Sacrifice / 08. Satan-Prometheus / 09. Introibo Ad Alatare Satanas
GORGOROTH a beaucoup fait parler de lui ces derniers temps, Gaahl et King Ov Hell ayant essayé d’exclure Infernus du groupe, une procédure judiciaire a ensuite donné lieu a une situation dont le ridicule était plus qu’affligeant, Tormentor et Pest, de retour au bercail, le groupe pouvait se remettre au boulot sous le nom GORGOROTH. Le résultat est là et tient en neuf titres dont le contenu risque fort de surprendre les fans, les titres Black ravageurs se font plus rares et une certaine ambiance mélancolique se muant parfois en Death se dessine tout au long de ce Quantos Possunt Ad Satanitatem Trahunt. “Aneuthanasia” et “Prayer” donnent dans le Black primaire avec des riffs mid-tempo très simples, un peu dans la lignée de ce que SATYRICON peut proposer (en plus primitif encore et surtout moins Rock’N’Roll), “Cleansing Fire” présente le même profile et s’il est vrai que l’ambiance générale est moins oppressante, le groupe ne perd cependant pas la face et nous inflige quelques titres Black mélodique lancinant appréciables comme “Rebirth” ou “New Breed”. On est donc loin du GORGOROTH sulfureux, un peu comme si les Norvégiens voulaient se racheter une conduite, en apparence bien sur, car en approfondissant un petit peu, on découvre quelques passages torturés et quelques structures un peu plus alambiquées qu’auparavant, “Satan-Prometheus” par exemple. Cet album n’est certes pas d’un niveau excellentissime, mais il permet à GORGOROTH de se reconstruire et de mettre la musique au premier plan car il faut admettre que si le nom GORGOROTH est aujourd’hui connu c’est surtout pour ses frasques (certainement avec un but marketing bien établi) plus que pour sa musique pourtant sans concessions. Quantos Possunt Ad Satanitatem Trahunt offre un visage plus mélodique et plus Death, certains diront plus mature à défaut d’être original. Pour exemple, un titre comme “Rebirth” sent le déjà-entendu, de même que “Building A Man” et les parties religieuses de “Satan-Prometheus” et l’outro “Introibo Ad Alatare Satanas” sonnent comme une évidence et ne réussissent pas totalement leur effet. On attend mieux de la part de GORGOROTH pour la suite, en attendant on bien content de pouvoir écouter du nouveau matériel qui tienne la route.
SIX FEET UNDER - Crypt Of The Devil Metal Blade Records
Style : Death Metal
Origine : Etats-Unis
Sortie : 2015
Site Web : www.facebook.com/sixfeetunder
01. Gruesome / 02. Open Coffin Orgy / 03. Broken Bottle Rape / 04. Break The Cross In Half / 05. Lost Remains / 06. Slit Wrists / 07. Stab / 08. The Night Bleeds / 09. Compulsion To Brutalize / 10. Eternal in Darkness
En 1993, Chris Barnes, alors chanteur de CANNIBAL CORPSE, désire créer un projet musical parallèle, avec l’intention de montrer que le Death Metal n’est pas exclusivement une question de rapidité et qu’il peut tout aussi bien reposer sur des rythmes lents, lourds et gras. Ainsi, SIX FEET UNDER voit le jour. Le combo américain, voit son line-up évoluer au fil du temps et principalement ces dernières années avec l’arrivée du bassiste Jeff Hughell en 2012 et plus récemment du batteur Marco Pitruzzella en 2013. Cependant, même si ses membres ont visiblement du mal à rester en place, SIX FEET UNDER n’est pas en reste et nous le prouve encore cette année avec Crypt Of The Devil. En effet, l’album débute sans compromis avec « Gruesome » (Macabre). La double pédale charnue et le tempo assez rapide dénote avec l’identité habituelle du groupe mais sans la dénaturer, brutalisant justement les compositions. De plus, la guitare assez agressive et grinçante montre cette rage naturelle que dégage cet album. Pour continuer, il est assez agréable de retrouver ce growl parfait, profond et grave auquel Barnes nous a habitué au fil des nombreux albums. L’écoute se poursuit sans réelle surprise, enchainement les morceaux, sans découverte ni étonnement particulier. Malgré tout, l’on trouve quelques originalités de composition telle que « Open Coffin Orgy » où les couplets montrent une ambiance lente et presque malsaine. Egalement, dans « Lost Remains » où le titre laisse place à des passages plus lourds enchainant sur des tapis de double pédale précis et méthodique ou bien laissant le chanteur donner libre cours à son growl, le faisant vibrer et montrant une maitrise parfaite de sa voix. Le début de « Compulsion To Brutalize », à la basse saturée, dénote aussi avec le reste de l’album. Enfin, « The Night Bleeds » montre quelques passages intéressants, notamment la très simpliste partie au milieu du titre, précédant et contrastant avec une envolée de double pédale. Sur le point de vue du chant, les rares pointes d’originalité sont les quelques screams réalisés néanmoins avec talent mais déjà présent depuis les débuts du combo. Crypt Of The Devil est donc un album propre, qui présente des musiques de qualité, assurant une continuité entre elle, avec des transitions efficaces et bien trouvées qui permettent de conserver l’esprit initial de chaque composition sans divaguer. Mais il s’agit d’un nouvel opus beaucoup plus technique et travaillé que ses prédécesseurs. Notamment concernant la batterie, beaucoup plus complexe, avec des blast beats plus présents et une double pédale plus marquée, nouveauté dû sans aucun doute à l’arrivée d’un nouveau batteur. Pour continuer, les solos de guitare sont bien plus étudiés et fournis, ceci concernant par exemple « Slit Wrists ». Seulement, cette technicité plus élevée entraine une certaine « normalisation » des morceaux, perdant cet aspect de lenteur que Barnes comptait donner à ses compositions que nous retrouvions par exemple avec « Impulse To Disembowel » ou « Necrosociety » de l’album True Carnage (2001). Egalement, SIX FEET UNDER est un groupe qui sait faire groover son Death Metal, comme nous le prouve des titres tels que « War Machine » ou « The Murderer », respectivement sur les albums Maximum Violence (1999) et True Carnage. Un groove que l’on ne retrouve plus. Pour finir, un détail malheureusement assez habituel chez nos américains : la durée des albums. En effet, s’ils sont généralement assez courts, Crypt Of The Devil ne dure que 36 minutes, relativement bref pour un album attendu depuis deux ans. Pour conclure, Crypt Of The Devil est un bon album qui plaira aux amateurs de véritable Death Metal mais peut-être un peu trop classique, manquant quelque peu d’originalité et de prise de risque. Cependant, même si l’on ne retrouve que très peu l’identité de SIX FEET UNDER, il s’agit d’un album très travaillé, proprement fini et technique sur le plan musical que je recommande et qui mérite amplement sa place ainsi que d’être écouté et qu’apprécié.
TRACER (Stoner Rock) sortira son nouvel album intitulé Water For Thirsty Dogs le 24 Juillet prochain.
Tracklist Water For Thirsty Dogs (2015) :
01. Water For Thirsty Dogs / 02. We're Only Animals / 03. Us Against The World / 04. Lazy / 05. Astronaut/Juggernaut / 06. Halfway To Zero / 07. The Machine / 08. Homeward Bound / 09. Owe You Nothing / 10. Tremors
Découvrez le titre "Astronaut/Juggernaut" via la lyric vidéo ci-dessous.
LAMB OF GOD vient de publier un nouveau clip, il a été réalisé pour le titre "512" extrait de l'album VII: Sturm Und Drang qui sortira le 24 Juillet via le label Nuclear Blast Entertainment.
Les Brésiliens de KRISIUN (Death Metal) ont dévoilé l'artwork de leur nouvel album, Forged In Fury, qui sortira le 7 Août prochain via Century Media Records. L'album a été enregistré en compagnie d'Erik Rutan (Hate Eternal, ex-Morbid Angel) aux Mana Recording Studios et l'artwork est signé Joe Petagno (Motörhead, Marduk, Vader...).
CHAOS MAGIC, projet réunissant Timo Tolkki et la chanteuse chilienne Caterina Nix, sortira son premier album éponyme le 3 Juillet prochain via Frontiers Music. Un clip vient d'être dévoilé pour le titre "I'm Alive", à découvrir ci-dessous.
HEAVY SOUND est un webzine consacré au Metal sous toutes ses formes, de l'AOR au Thrash en passant par le Death ou le Black.... HEAVY SOUND vous propose des news, des chroniques CD et DVD, des interviews et des live reports....