• ART OF ANARCHY sortira son second album, intitulé The Madness, le 24 Mars prochain via Century Media Records.

    Il s’agit du premier album avec Scott Stapp (CREED) au chant, remplaçant de Scott Weiland, décédé en décembre dernier. Pour rappel, ART OF ANARCHY est également constitué de Ron « Bumblefoot » Thal (ex-GUNS N' ROSES), John Moyer (DISTURBED) et des frères Jon et Vince Votta.

     

    ART OF ANARCHY - Les détails du nouvel album


    Tracklist The Madness (2017) :
    01. Echo Of A Scream / 02. 1,000 Degrees / 03. No Surrender / 04. The Madness / 05. Won’t Let You Down / 06. Changed Man / 07. A Light In Me / 08. Somber / 09. Dancing With The Devil / 10. Afterburn

    Retrouvez le clip du morceau-titre "The Madness" ci-dessous :

     


    votre commentaire
  • Les Américains de VANGOUGH (Progressive Metal) sortiront leur nouvel album, intitulé Warpaint, le 17 Mars prochain.

     

    VANGOUGH - Les détails du nouvel album


    Tracklist Warpaint (2017) :
    01. Morphine / 02. Dust / 03. The Suffering / 04. Gravity / 05. Till Nothing’s Left / 06. Knell

     


    votre commentaire
  • PLACE VENDOME - Un nouvel extrait du prochain album dévoilé

    PLACE VENDOME vient de dévoiler un troisième extrait de son nouvel album, Close To The Sun, à paraître le 24 Février prochain via Frontiers Music Srl. Il s'agit du titre "HereAfter", à découvrir via la lyric vidéo ci-dessous.

     


    votre commentaire
  • FIREWIND - Immortals
    Century Media Records
    Style : Power Metal
    Origine : Grèce
    Sortie : 2017
    Site Web : www.firewind.gr

    FIREWIND - Immortals



    01. Hands Of Time / 02. We Defy / 03. Ode To Leonidas / 04. Back On The Throne / 05. Live And Die By The Sword / 06. Wars Of Ages / 07. Lady Of 1000 Sorrows / 08. Immortals / 09. Warriors And Saints / 10. Rise From The Ashes / 11. Vision Of Tomorrow (Bonus Track)

    En 2013, Apollo Papathanasio, le chanteur emblématique de FIREWIND depuis 2006, quittait le navire pour se consacrer pleinement à SPIRITUAL BEGGARS. Une fois l'intégration d'Henning Basse (ex-METALIUM) effective, les Grecs étaient fin prêts pour enfin donner un successeur à Few Against Many dont la sortie remontait tout de même déjà à 2012. Quatre longues années de patience ont donc été nécessaire pour voir débarquer ce huitième album. Et malgré un certain renouveau avec un Heavy Speed plus direct, mordant et hargneux, doté de superbes guitares incisives et techniques, rien de réellement transcendant ne ressort de ce Immortals, si ce n'est une sensation de déjà entendu. Ça joue bien, même très bien, les chansons sont bonnes, parfois même excellentes, mais il manque ce qui a toujours fait défaut à FIREWIND : la magie, l'étincelle. Seul le superbe "Ode To Léonidas", hymne épique et entrainant à la gloire du roi de Sparte, parvient à nous filer la chair de poule. Une magnifique intro narrée où Henning Basse se distingue avec brio et grande théâtralité, quelques arpèges lancinants annonçant un riff ténébreux et fédérateur, et un solo fantastique, voila le genre de morceau pouvant secouer à lui tout seul une foule en délire. Les chœurs lyriques de "Back On The Throne" sont aussi du plus bel effet, débouchant sur un riff brut et sauvage et un refrain difficile à oublier. Autre réussite, "Live And Die By The Sword", titre mid tempo plutôt inspiré, sorte de power ballade avec son atmosphère orageuse et sombre, aux portes d'un combat de gladiateurs en pleine arène, le tout soutenu de chœurs guerriers, rallié par l'épée de Gus G, nous écharpant une nouvelle fois de son talent de guitar hero. On est également transporté, et agréablement surpris, par le solo électro-acoustique qui sert d'introduction à la mélodieuse "Lady Of 1000 Sorrows". Le titre s'achevant en toute beauté par de superbes notes acoustiques douces et langoureuses. Une franche et belle réussite. En outre, le morceau-titre "Immortals" se veut être un court instrumental, certes sympathique mais loin d'être grandiose ! Enfin, pour terminer, quelques mots sur Henning Basse qui, s'il possède une belle voix, ne se révèle pas vraiment marquant car manquant cruellement de relief, de variété et d'originalité. Par contre, on ne peut qu'être admiratif devant la performance de Gus G. qui, a lui tout seul, sauve cet album de la médiocrité et de la banalité.

    Chronique : Papa Bordg

    FIREWIND - Immortals

     


    votre commentaire
  • SEPULTURA - Machine Messiah
    Nuclear Blast
    Style : Groove/Thrash Metal
    Origine : Brésil
    Sortie : 2017
    Site Web : www.sepultura.com.br

    SEPULTURA - Machine Messiah



    01. Machine Messiah / 02. I Am The Enemy / 03. Phantom Self / 04. Alethea / 05. Iceberg Dances / 06. Sworn Oath / 07. Resistant Parasites / 08. Silent Violence / 09. Vandals Nest / 10. Cyber God

    On pouvait penser qu'après des albums éternels comme Arise (1991), Chaos A.D. (1993) et Roots (1996), et les départs conjugués des frangins Cavalera que SEPULTURA n'y survivrait pas, restant à tout jamais un mythe écorné et rouillé par le temps. En fait, il n'en fut rien. N'en déplaise à certains, SEPULTURA n'est pas mort, il est tout simplement différent. Et si, au fil des années et des sorties, le groupe a su conserver une certaine trajectoire, il n'a jamais cessé de se renouveler, proposant à chaque sortie des albums plutôt costauds, c'était notamment le cas de Kairos (2011) et The Mediator Between Head And Hands Must Be The Heart (2013) qui, s'ils faisaient toujours autant polémique, n'en étaient pas moins des disques relativement solides. Il est donc évident que l'attente quant à ce quatorzième album était à son maximum, et effectivement Machine Messiah surprend encore musicalement, proposant un travail de grande qualité et d'un éclectisme redoutable. Comment ne pas rester bouche bée avec cette magistrale entrée en matière qu'est "Machine Messiah" où Green s'exprime tour à tour en voix claire, narrée ou vociférant avec hargne et habileté sur des leads aériens et hyper mélodiques, avec l'apport de grattes ébouriffantes, d'ailleurs ces parties de guitare sont l'un des atouts de ce palpitant Machine Messiah ("Phantom Self, "Alathea", "Sworn Oath", "Cyber God"), le second étant sans conteste sa grande diversité. Dès "I Am The Enemy", on retrouve un SEPULTURA énervé, capable de décoincer le coccyx des plus belliqueux, suivi du terrifiant "Phantom Self" qui rappelle les joutes du temps jadis (tout comme "Resistant Parasites" à l'intro de basse dévastatrice) avec son refrain impérial et ses orchestrations orientales. Au passage, SEPULTURA semble largement s'imposer face à l'insipide CAVALERA CONSPIRACY, voire même face à SOULFLY qui, depuis quelques années, semble de plus en plus tourner en rond. Mais là n'est pas le débat ! Les riffs sont, comme avec l'imparable Kairos, superbes et tranchants, aiguisés comme la lame du sabre d'un samourai (l'instrumental "Iceberg Dances" et ses quelques parties acoustiques hispanisantes). "Sworn Oath" enfonce inexorablement le clou avec son riff assassin sur fond symphonique, et un Eloy Casagrande tout bonnement phénoménal, martyrisant sa double et ses futs telle une pieuvre tentaculaire. Sans oublier ce "Cyber God" vampirisant la fin d'album jusqu'à plus soif. Voilà, ça fait beaucoup pour ne pas admettre l'évidence, non ? Nier la qualité exceptionnelle de ce nouvel album serait une hérésie. Car oui, ce Machine Messiah est grand, SEPULTURA étant incontestablement redevenu, en cette année 2017, un véritable monstre du Metal. Réjouissons nous, les Brésiliens nous livrent là leur plus beau diamant depuis fort longtemps !

    Chronique : Papa Bordg

    SEPULTURA - Machine Messiah

     


    votre commentaire