• FLAT EARTH - "Given Time" (Clip)

     

    Les Finlandais de FLAT EARTH (Rock/Metal) - avec des ex-membres de HIM et AMORPHIS - viennent de publier un clip illustrant le titre "Given Time" extrait de leur premier album, None For One, à paraître le 9 Novembre prochain via Drakkar Entertainment.

     

     

    FLAT EARTH - "Given Time" (Clip)

     

    Tracklist None For One (2018) :
    01. Subhuman / 02. Blame / 03. Given Time / 04. Cyanide / 05. None For One / 06. The Glow / 07. Noble Swine / 08. Limelight / 09. Freedoom / 10. Blunt / 11. Kill My God

     


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  • FORGERY - Les détails du nouvel album Edge Of Perception

     

    Les Norvégiens de FORGERY (Thrash Metal) sortiront leur nouvel album, intitulé Edge Of Perception, le 2 Novembre prochain via Battlegod Productions.

     

    FORGERY - Les détails du nouvel album Edge Of Perception


    Tracklist Edge Of Perception (2018) :
    01. Age of Deception / 02. After the Blood / 03. Demon of Self / 04. The Closer You Get / 05. Scream / 06. Scent of The Prey / 07. Throttled / 08. Through My Veins / 09. 12 Gauge Fate / 10. No Escape / 11. Shadows Through A Keyhole

     

     


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  • AMBERIAN DAWN - "Cherish My Memory" (Clip)

     

    Les Finlandais d'AMBERIAN DAWN (Symphonic Power Metal) viennent de publier un clip illustrant la version remasterisée du titre "Cherish My Memory" apparaissant originellement sur l'album Magic Forest sorti en 2014 via Napalm Records.

     

     


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  • Kåabalh - Kåabalh
    Dolorem Records
    Style : Putrid Doom/Death Metal
    Origine : France
    Sortie : 2018
    Site Web : www.facebook.com/kaabalh76

    Kåabalh - Kåabalh



    01. Cabal / 02. Acheron / 03. Dark Wrath Of A New God / 04. The Complete Darkness / 05. Heavy Boredom Death / 06. Death's Ovation

    Le corps putréfié mais pourtant encore un peu chaud, TORTURE THRONE est étendu au sol lorsque deux de ses membres, Fab Dodsmetal, à la batterie, et Damned, à la guitare lead, ont l'idée de former un nouveau groupe qui prend vite forme avec Marco à la basse et Pierre à la guitare et au chant courant 2017. Dans la foulée le groupe travaille sur un premier album qui doit suinter le Death Metal old-school aux gros relents de Doom Death à la ASPHYX et les débuts d'INCANTATION. D'ailleurs, la production étouffante ne trompera personne, l'ombre d'INCANTATION et même de DRAWN AND QUARTERED, dont le dernier album a été chroniqué ici il y a peu, sont clairement en tête lorsque déboule "Cabal", un instrumental qui fait office de longue introduction rampante tel un corps agonisant au sol essayant vainement de s'échapper. Mais "Acheron" prend la suite et le ciel sombre devient bien noir, opaque, irrespirable, les growls de Pierre plantent très vite le décor, on est en terrain balisé c'est certain mais les leads transperçant de Damned agissent comme des flèches pour atteindre les proies laisser là à leur merci. Si une vague impression de monobloc peut se faire sentir, l'auditeur pouvant ne reprendre conscience qu'à la fin de "Death's Ovation" qui est une des rares accélérations de cet album illuminé par un lead bien chaotique comme SLAYER les a popularisé en son temps, c'est parce que l'album éponyme présenté là regorge d'endroits moites et puants qu'il faut prendre le temps d’apprivoiser. Le groupe ayant misé sur l'effet de masse plutôt que d'essayer de tirer le maximum de lumière des ténèbres qu'il venait de créer. Car après "Acheron" et son lead entêtant, son break basse batterie, la plongée dans les abîmes du style est brute. Car lorsque "The Complete Darkness" vous assomme la tête en moins de cinq minutes, on y retrouve un Death Metal plus dynamique mais toujours aussi crade et terriblement emprunt d'esprit Doom Death à la RUNEMAGIK ou ASPHYX pour mieux replonger dans un "Heavy Boredom Death" dans la droite lignée d'un "Dark Wrath Of A New God". Il ne faut donc pas attendre de ce Kåabalh, une quelconque once d'innovation et c'est bien ainsi tant le Death Metal putride de ce quatuor ravira les amateurs du genre, excédés ou non par le retour par vague du style, ce groupe tire clairement son épingle du jeu en mettant ses tripes dans ces six titres, un premier album à ne pas rater.

    Chronique : Aymerick Painless

    Kåabalh - Kåabalh

     

     

     


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  • GRETA VAN FLEET - Anthem Of The Peaceful Army
    Lava / Republic Records
    Style : Hard Rock
    Origine : États-Unis
    Sortie : 2018
    Site Web : www.gretavanfleet.com

    GRETA VAN FLEET - Anthem Of The Peaceful Army



    01. Age Of Man / 02. The Cold Wind / 03. When The Curtain Falls / 04. Watching Over / 05. Lover Leaver (Taker Believer) / 06. You're The One / 07. The New Day / 08. Mountain Of The Sun / 09. Brave New World / 10. Anthem

    GRETA VAN FLEET semble bien être la grande attraction du moment, signant une sorte de revival de la légende anglaise qu'est LED ZEPPELIN, pour ma part l’un des plus grands groupes de tous les temps ! Après le EP Black Smoke Rising (2017), qui s'est vu ensuite agrémenté de nouveaux morceaux pour donner naissance à From The Fires (novembre 2017), on ne pouvait que se rendre compte de l'indéniable potentiel des Américains, et de la fratrie Kiszka qui le compose (Joshua au chant, Jacob à la guitare et Samuel à la basse), accompagné de Daniel Wagner à la batterie. Nous restions malgré tout réservé face à l’enthousiasme général, car n’atteignant en aucun cas, selon moi, la magie et la virulence du monstrueux dirigeable. Évidemment From The Fires était déjà d'un excellent niveau, mais sans toutefois atteindre l’exceptionnel. Moins d’un an après, les revoilà avec, cette fois-ci, leur premier véritable album, Anthem Of The Peaceful Army. Dix titres pour presque 50 minutes sentant bon le flower power et la beauté des 70's. Le groupe semble quelque peu se détacher de sa source d’inspiration principale, sans toutefois prendre un plein envol car ce Anthem Of The Peaceful Army rappelle encore parfois le Led Zeppelin III (assez évident sur les acoustiques "You’re The One" et "The New Day"). Mais cela nous arrange peut-être un peu, ayant une identité propre commençant à s’affirmer sans couper complètement le cordon ombilical de la nostalgie qu’on éprouve à la lueur des notes délivrés par GRETA VAN FLEET. La voix de Joshua Kiszka semble moins marquée par Robert Plant, moins légère, sensuelle, que sur From The Fires, plus tendue, nerveuse et criarde, sans pour autant qu’elle n'en soit moins belle. Cette maturité personnelle commence à pointer le bout de son nez à l’écoute d’un titre aussi magnifique et envoûtant que "Brave New World", véritable bijou de ce nouvel album, procurant excitation et émotion ("Watching Over" déverse lui aussi son flot d’émotion, avec un grand Jacob Kiszka), ce que LED ZEPPELIN a toujours su faire à merveille. GRETA VAN FLEET est aussi sensationnel quand son influence principale est parfaitement digérée, en profitant au maximum pour faire vibrer ses sons sans plagier outrageusement le dirigeable, comme ça peut être le cas du sublime "Lover Leaver (Taker Believer)", avec cette voix incroyable suspendue tout là-haut, là où personne ou presque ne va, ou comme sur la slide exaltante de "Mountain Of The Sun", avec un passage batterie/voix génial faisant sourire et penser au bonheur que la vie nous procure parfois. Cette sensation de bien-être, de chaleur humaine, est une constante évidente de ce Anthem Of The Peaceful Army, le superbe acoustique "Anthem" en est un des plus beaux exemples, sans oublier le somptueux "Age Of Man" aux frissons garantis. Un réel attachement à cette œuvre nous possède au fil des écoutes même si il y manque encore ce côté plus sombre, violent et méchant que l'on ne trouve pas encore dans la musique des Américains, cependant la magie commence sacrément à opérer !

    Chronique : Papa Bordg

    GRETA VAN FLEET - Anthem Of The Peaceful Army

     

     

     

     


     


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