• YNGWIE MALMSTEEN - World On Fire

    YNGWIE MALMSTEEN - World On Fire
    King Records
    Style : Guitar Hero
    Origine : Suède
    Sortie : 2016
    Site Web : www.yngwiemalmsteen.com

    YNGWIE MALMSTEEN - World On Fire



    01. World On Fire / 02. Sorcery / 03. Abandon / 04. Top Down, Foot Down / 05. Lost In Machine / 06. Largo / 07. No Rest For The Wicked / 08. Soldier / 09. DUF 1220 / 10. Abandon (Slight Return) / 11. Nacht Musik

    On a déjà tout écrit, tout dit du bonhomme depuis les nombreuses années qu’il traine sa mauvaise réputation au sein de la scène Metal internationale. Alors qu’attendre de cette cuvée 2016 ? Rien de neuf, en soit. Il fait toujours ce qu’il sait faire de mieux, à savoir ce qu’on nomme du Metal Néo-Classique (ce qui n’est d’autre que du Heavy Metal avec des influences de musique classique sur certains titres, point) et cela avec plus ou moins d’inspiration. Personnellement, cela fait bien plus d’une décennie que je n’avais eu l’occasion d’écouter de nouvelles compositions du Suédois... Que dis-je ? Plus de 20 ans en fait (je viens de regarder sa discographie et sa bio sur Wikipedia. Le temps passe à une vitesse...) Bon revenons à nos moutons. Et je dois dire que je n’entends rien de bien nouveau ou plus vibrant que ce qu’il proposait sur ses premiers albums. Avant, il avait toujours su s’entourer d’excellents chanteurs comme Jeff Scott Soto, Joe Lynn Turner ou Mats Levén pour ne citer qu’eux. Là, c’est lui qui pousse la chansonnette. Sur le titre qui ouvre l’album et donne son nom à celui-ci, ainsi que sur "Lost In Machine" et un "Soldier" qui est, à mon avis, l’un des titres les plus probants de ce nouvel opus. Alors oui, chanter n’est forcément pas ce qu’il fait de mieux, c’est très classique et dans l’esprit de ses anciennes réalisations, mais ça reste cohérent tout de même. D’ailleurs sur cet album, il fait tout, tout seul. On est jamais mieux servi que par soi-même ! Au final, les détracteurs pourront dire que c’est du temps perdu et de l’argent foutu en l’air que de s’approprier cette rondelle rien que pour entendre de la branlette de manche. Les fans, eux, seront servis car le virtuose n’a rien perdu de son doigté et enchaîne toujours les notes avec cette touche de classicisme qui fait sa marque de fabrique (inspirée de maître Blackmore, même si lui cite plutôt Uli Jon Roth) comme sur, en fait, tous les titres instrumentaux de ce World On Fire, et tout particulièrement "Largo" et "Nacht Musik". Voilà, je ne vois rien d’autre à ajouter mais ce serait quand même mentir que de dénigrer cette énième réalisation (je n’ai pas eu le courage de compter, désolé) d'YNGWIE MALMSTEEN car elle n’est pas désagréable à écouter... En musique de fond, ça passe très bien.

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