• Le troisième album des Polonais de DEVILISH IMPRESSIONS intitulé Simulacra sortira le 27 Juillet prochain via Lifeforce Records.

    DEVILISH IMPRESSIONS_Simulacra

     

    Tracklist Simulacra (2012) :

    1. Icaros / 2. Legion of Chaos / 3. Lilith / 4. Fear no Gods! / 5.  The Scream of the Lambs / 6. Spiritual Black Out  / 7. Vi Veri Vniversum Vivus Vici / 8. The Last Farewell / 9. Solitude

    Devilish Impressions_Band 2012

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  • WIG WAM - Wall Street
    Frontiers Records
    Style : Glam/Sleaze Rock
    Origine : Norvège
    Sortie : Mai 2012
    Site Web : www.wigwam.no

    wig wam_wall street

    01. Wall Street / 02. OMG (Wish I Had A Gun) / 03. Victory Is Sweet / 04. The Bigger The Better / 05. Bleeding Daylight / 06. Tides Will Turn / 07. Wrong Can Feel So Right / 08. One Million Enemies / 09. Try My Body On / 10. Natural High / 11. Things Money Can't Buy / 12. School's Out (Bonus track)

    Mais qu'est il donc arrivé à WIG WAM ? Après un début de carrière plutôt prometteur et deux ans après l'excellent Non Stop Rock'N'Roll, le combo Norvègien semble n'être plus que l'ombre de lui-même... Peu de titres réellement accrocheurs, l'esprit fun qui caractérisait le groupe a quasiment disparu..., WIG WAM nous livre aujourd'hui avec Wall Street un album pataud presque totalement dénué d'intérêt, comment accorder le moindre crédit à des compos aussi bancales que "The Bigger The Better", "One Million Enemies" ou "Natural High" d'une platitude confondante... Seul "Wall Street", parfait single, "Victory Is Sweet", le très bon "Bleeding Daylight" ou encore "Try My Body On" se détachent quelque peu du lot et apportent un léger regain à un album bien décevant... on retiendra également l'instrumental "Things Money Can't Buy", qui nous prouve que Teeny est loin d'être un manchot à la six cordes, et cette reprise, plutôt réussie, du "School's Out" d'ALICE COOPER... une bien maigre consolation pour un album fade et sans "magie"...

    Chronique par Nono666

    Note : 6/10

     

    WIG WAM_Wall Street_promo-pic

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  • SIX FEET UNDER – Undead
    Metal Blade Records
    Style : Death Metal
    Origine : Etats-Unis
    Sortie : Mai 2012
    Site Web : www.sfu420.com

    SIX FEET UNDER_Undead



    01. Frozen At The Moment Of Death / 02. Formaldehyde / 03. 18 Days / 04. Molest Dead / 05. Blood On My Hands / 06. Missing Victims / 07. Reckless / 08. Near Death Experience / 09. The Scar / 10. Delayed Combustion Device / 11. Vampire Apocalypse / 12. The Depths Of Depravity

    On avait quitté SIX FEET UNDER en pleine forme après la sortie d’un Death Ritual de bonne qualité en 2009. Et puis voilà que Chris BARNES, le vocaliste du combo US, se retrouve isolé en 2011 avec le départ de Terry BUTLER et Greg GALL, l’assise rythmique de SIX FEET UNDER depuis 1993, annonçant l’arrivée d’une nouvelle génération avec Kevin TALLEY à la batterie, également cogneur de DÅATH, de Rob ARNOLD à la guitare (ex-CHIMAIRA) et Matt DeVRIES (ex-CHIMAIRA) à la basse, ce dernier étant déjà parti pour laisser sa place à Jeff HUGHELL et rejoindre FEAR FACTORY. Au milieu de tout ça, SIX FEET UNDER enregistre tout de même un nouvel album, le douzième en prenant en compte les albums de reprises, voilà qui, pour un groupe ayant débuté comme un side-project, commence à faire pas mal ! Musicalement, pas de grande révolution, le Death Metal varie toujours entre moments de Groove caractéristique des Américains ("Frozen At The Moment Of Death"), de pure Death Metal Old-School ("Formaldehyde" ou "Missing Victims") et quelques rares passages un peu plus modernes comme ce "18 Days" expéditif. Ce nouvel album a été enregistré et produit par Mark LEWIS (DEICIDE, DEVILDRIVER) et mixé par Jason SUECOF, une équipe également plus proche de la scène moderne que celle qui a opéré sur Death Ritual immortalisé à Tampa, l’antre du Death Américain. Alors, il est vrai que cette production change un peu l’approche que l’on peut avoir de SIX FEET UNDER mais ce groupe reste fidèle à lui-même au grand désarroi de ses détracteurs qui verront en "Reckless", un pied de nez inconcevable à la scène Death Metal. Avec son rythme jumpy presque Punk, ce titre ouvre des portes aux Américains que l’on a l’habitude d’entendre écrasant et étouffant mais sur Undead le propos est tout autre, enfin diront certains ! Malheureusement, si musicalement, SIX FEET UNDER envoie le bois comme il faut, vocalement Chris BARNES ne se fend pas d’une prestation incroyable, se contentant de suivre la ligne des guitares, donnant un côté lourdaud à l’ensemble, dommage que la prise de risque musicale, somme toute assez mesurée tout de même, ne soit pas suivie vocalement. Avec ce douzième album, on a la désagréable impression d’inachevé, comme si les titres étaient restés à l’état de version de travail, il manque l’étincelle qui va sublimer tout ça, peut-être faut il le temps à ce nouveau line-up de se mettre en place mais lorsqu’il s’agit d’un groupe avec bientôt 20 années de carrière, nous sommes un peu plus regardant à la qualité de ce qui sort sous ce nom, un album pas foncièrement mauvais mais loin d’être exaltant !

    Chronique par Aymerick Painless

    Note: 6/10

     

     

    Six Feet Under_Band 2012

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  • A LIQUID LANDSCAPE – Nightingale Express
    Glassville Records
    Style : Progressive Rock
    Origine : Pays-Bas
    Sortie : 2012
    Site Web : www.aliquidlandscape.nl

    a liquid landscape_nightingale express



    01. Nightingale Express / 02. Wanderer’s Log – You / 03. June Filth / 04. Phases / 05. The Unreachable / 06. Wanderer’s Log – Me / 07. Thieves Of Time / 08. Out Of Line / 09. Come On Home / 10. Wanderer’s Log – Storm / 11. Secret Isle

    Les Néerlandais d’A LIQUID LANDSCAPE arrivent avec un premier album qui bénéficie déjà d’un sacré support, en effet, Glassville Records est un label très en vue dans le domaine du Progressif en général. Et si les compagnons de label de RIVERSIDE peuvent logiquement arriver en tête à l’écoute de Nightingale Express, on comprend vite qu’il y a une dimension plus atmosphérique dans la musique des Néerlandais, quelque chose qui navigue entre l’ambiance d’un MUSE, la délicatesse d’un ANATHEMA et l’approche moderne d’un DREDG. Cette particularité fait également la petite faiblesse de ce premier opus puisque si les mélodies vocales offrent de beaux moments de pure intensité, on remarque également un jeu à deux guitares basées sur des harmonies très classieuses mais un brin immobile malgré quelques riffs plus rentre dedans ("Thieves Of Time"). Nightingale Express reste un moment de douceur fort appréciable avec quelques titres accrocheurs et résolument Rock comme ce "Come On Home" mais aussi de vrais moments de Progressif assez culottés comme le titre d’ouverture "Nightingale Express" qui renferme un développement instrumental bien ficelé pour 13 minutes intenses qui permettent d’entrer de plein pied dans ce premier album recommandé pour tout amateur de Progressif, de Steven WILSON à RIVERSIDE en passant par DREDG.

    Chronique par Aymerick Painless

    Note: 7.5/10

     

    A Liquid Landscape_Band

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  • STALWART – Manifest Of Refusal
    PRC Music
    Style : Thrash / Death Metal
    Origine : Russie
    Sortie : Mai 2012
    Site Web : www.myspace.com/stalwartmetal

    Stalwart_Manifest Of Refusal



    01. The Karma Circle / 02. Downgrade Evolution / 03. Rise Of The Ninth Wave / 04. Last Dawn Of The Era / 05. Corrosion / 06. Idol Of The Time / 07. It’s Just My Choice / 08. Manifest Of Refusal / 09. Renaissance Through Devastation

    Non l’heure de voir débarquer un groupe de Black Nord-Coréen ou un groupe Afghan totalement féminin n’est pas encore venue mais l’arrivée massive de groupes Russe sur la scène Européenne est un premier pas que l’on peut attribuer à la dématérialisation de la musique et de l’accès quasi général à internet. STALWART existe tout de même depuis 1999 et sort avec Manifest Of Refusal, son troisième album. C’est que ces gars ont bien écouté NILE ou BEHEMOTH, c’est certain, mais aussi MORBID ANGEL, en effet, les expérimentations ambiantes que l’on peut trouver sur cet album ("Corrosion") nous rappelle fortement les Américains. Mais ce n’est pas tout, STALWART a eu le temps de se forger une identité qui prend des tournures Groovy le temps d’un "Rise Of The Ninth Wave" ou un côté technique à la DECAPITATED plutôt que le côté chirurgical de NILE ou BEHEMOTH voire même HATE qui a finalement bien plus de points en commun avec ces Russes. Alors, nous, petits Occidentaux pouvons toujours nous targuer en ne reléguant cette scène Russe qu’à des groupes de copieurs, à l’écoute de ce Manifest Of Refusal, on se dit tout de même que si les influences sont flagrantes, le groupe nous livre ici un très bon album avec un vrai savoir faire dans la variation vocale qui couvre toute la palette des voix Death connues. Cependant, si l’esprit Down Tempo qui rôde sur tout le début de l’album, voire les deux tiers, est fortement plaisant puisqu’il prend bien le contrepied de la surenchère de la rapidité à laquelle se livre la scène Death actuelle, avec une technique toujours au service de la mélodie et de la spontanéité, on finit tout de même pas trouver à cet album un manque de punch. Mais STALWART risque fort d’enfoncer des portes que certains bien pensants voudraient bien voir rester fermées !

    Chronique par Aymerick Painless

    Note : 7.5/10

     

    Stalwart_Band

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